Selon les dernières données de l’Insee, en France sur l’année 2020, 480 000 enfants mineurs vivent en alternance chez leurs deux parents.

Les mères et pères séparés n’ont pas les mêmes conditions de vie

Newsletter

Les informations recueillies sont destinées à CCM Benchmark Group pour vous assurer l’envoi de votre newsletter.

Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire.

Vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification de vos données personnelles, ainsi que celui d’en demander l’effacement dans les limites prévues par la loi.

Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage. En savoir plus sur notre politique de confidentialité.

Voir un exemple

L’étude souligne que la plupart du temps, les familles séparées sont marquées par des parents avec des diplômes et des situations de cadres. Dans une famille traditionnelle, il est plus courant que les mères n’aient pas de travail en dehors de leur famille (elles travaillent pour 77% d’entre elles), alors que dans les familles monoparentales, les mères travaillent à 89%. Mais si elles sont très nombreuses à travailler, elles sont aussi 4 fois plus nombreuses à opter pour un aménagement de leur temps de travail (temps partiel), que les pères ! Ils sont 5% à choisir ce mode de travail, contre 19% des mères célibataires. Cette disparité homme/femme n’est pas la seule que l’Insee a observée chez les familles séparées. En parallèle, il a aussi été noté que les mères sont moins souvent propriétaires du logement familial et qu’il est généralement moins grand que celui des pères

Source: Lire L’Article Complet