Interviewée par le Vogue américain à l’occasion du lancement de sa ligne de rouge à lèvres, Victoria Beckham a bien l’intention de ne pas laisser le masque la priver de cette habitude make-up.

Avec le masque, porter du rouge à lèvres peut sembler dérisoire. Surtout depuis que le port est obligatoire toute la journée en entreprise et dans tout ou partie des rues en ville. Une mauvaise nouvelle pour les enseignes de maquillage qui ont déjà été impactées par une baisse des ventes pendant le confinement, avec ce produit en nette chute. En avril, le cabinet Nielsen dévoilait ainsi des chiffres sur le secteur qui enregistrait une baisse de -82 %.

En vidéo, Belle personne : Victoria Beckham

De quoi ralentir les lancements dans ce domaine. Mais il en faudrait plus pour dissuader Victoria Beckham, qui a mis quelques années à élaborer la parfaite formule et les bonnes couleurs, de présenter sa ligne. C’est ce qu’elle explique à l’édition américaine de Vogue dans une interview : «J’ai cherché ma vie entière le nude parfait mais la plupart des produits étaient souvent trop mauve ou trop marron.»

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Parce qu’on n’est jamais mieux servie que par soi-même, celle qui a su convaincre avec ses lignes prêt-à-porter a donc décidé de compléter sa ligne de cosmétiques avec une gamme de rouges à lèvres aux neuf teintes très naturelles. Et à la composition clean. Son nom ? Posh, clin d’œil à son surnom lorsqu’elle faisait partie des Spice Girls.

Avec un carré brun lors des Billboard Music Awards. (Los Angeles, le 27 janvier 1998.)

Une coupe courte avec David Beckham teint en blond. (Le 25 septembre 1998.)

Avec une coupe tomboy aux bras de David Beckham. (Londres, le 7 février 2000.)

Blonde glamour au Royal Albert Hall. (Londres, le 19 avril 2004.)

Quand au fait de lancer un produit qui peut s’avérer très accessoire quand la bouche est cachée en quasi-permanence, l’épouse de David Beckham n’y voit pas du tout un obstacle, bien au contraire : «Je veux toujours partir de chez comme je le ferais normalement […] Aucun masque ne m’empêchera de me sentir comme la meilleure version de moi-même.» Un argument commercial qu’on lui concède bien volontiers du moment que la créatrice ne prône pas l’abandon du masque… D’autant qu’elle et son époux auraient contracté le virus en mars dernier après une soirée à Los Angeles. De quoi les persuader de son utilité, avec ou sans lipstick.

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