En 2019, Sandrine Arcizet a subi une opération à coeur ouvert après qu’on lui a diagnostiqué un anévrisme de l’aorte. Dans les colonnes de Gala, l’animatrice a accepté de se confier sur ce traumatisme.

Connue pour sa bonne humeur, Sandrine Arcizet a vécu une période difficile en 2019. Et pour cause, l’animatrice phare de C8 a subi une lourde intervention chirurgicale après qu’on lui a diagnostiqué un anévrisme de l’aorte. Alors qu’elle a été opéré à coeur ouvert, Sandrine Arcizet a confié dans les colonnes de Gala : "Ça a été une période compliquée, parce que quand on vous dit que vous allez être opérée à coeur ouvert, franchement, c’est hyper compliqué. On se demande si le ciel nous tombe pas sur la tête, si c’est vrai, si les médecins ne se trompent pas. Je pensais vraiment mourir."

Alors que son fils avait cinq ans à ce moment-là, l’animatrice a eu peur de ne plus jamais revoir son fils, Robin. "Mon petit garçon avait 5 ans à l’époque et j’ai fait quelque chose que je dirais qu’il ne faut pas faire. J’ai voulu lui cacher entre guillemets mon opération parce que j’avais peur qu’il s’angoisse. Et à 5 ans, je me disais quand même qu’une opération du coeur de sa maman, ça a allait être compliqué. Mais un enfant c’est une éponge et ça comprend tout, donc il faut tout lui dire", a-t-elle expliqué. En pleine convalescence, Sandrine Arcizet a pu compter sur le soutien de son petit garçon. Elle s’est rappelée : "Quand je suis rentrée à la maison, Robin était là, il m’aidait tout le temps à marcher (…) Quand mon fils voyait ma cicatrice il disait ‘on dirait une voile de bateau’, il était vraiment adorable. Et du coup, ça donne vraiment beaucoup de force. On se dit que pour lui, il faut reprendre de la vitalité, il faut se donner à fond. À son âge, les enfants sont incroyables. Il faisait hyper attention à moi, c’était vraiment trop mignon."

Sandrine Arcizet : "La vie est bien faite"

Très vite, la pétillante animatrice a été beaucoup mieux. Elle a ainsi expliqué : "Après ça va mieux au bout d’un mois, je me suis remise assez vite. J’étais encore un peu fatiguée pendant deux mois et après c’est reparti. Et après c’était le premier confinement, donc je me suis remise à faire du sport à fond, tous les soirs chez moi, des live avec C8. Ça m’a redonné confiance en moi. J’ai fait des séances de sophrologie, de l’auto-hypnose, ça m’a vraiment fait du bien, ça a apaisé mes angoisses." Pour conclure, Sandrine Arcizet a ajouté : "La vie est bien faite parce que si mon médecin me l’avait pas dit, je ne serai peut-être pas là aujourd’hui."

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