Environ 500 milliards. C’est le nombre de masques chirurgicaux qui ont circulé dans le monde depuis le début de la pandémie. Et il ne cesse de grimper. Seulement, les protections usagées terminent incinérés, mais aussi pour la plupart — 10 % des déchets humains en général — jetés dans la nature, dans les eaux usées, pour finir dans les lacs et les océans…

  • Cannes: la ville prête à accueillir les festivaliers en juillet

    AFP

  • Marseille: un bus gratuit pour amener des publics éloignés au Mucem

    AFP

  • Maroc: la capitale du tourisme, Marrakech, à bout de souffle avec la crise sanitaire

    Le Figaro

  • A Tulsa, 100 ans après, la mémoire vive d'un des pires massacres raciaux des Etats-Unis

    AFP

  • Les humains et les grands requins blancs cohabitent ensemble en Californie

    KameraOne

  • Un hippopotame énervé poursuit un bateau de touristes

    KameraOne

  • Paris: une exposition consacrée à un David Bowie inattendu

    AFP

  • Une GoPro emportée par les vagues retrouvée en état de marche cinq ans plus tard

    KameraOne

  • À Paris, une procession catholique attaquée par des antifas

    Le Figaro

  • Turquie : un port envahi de mucilage marin, la vie marine menacée

    KameraOne

  • La fusée Longue Marche 7 s’arrime à la future station spatiale chinoise

    Le Figaro

  • Pour Guillaume Peltier, «aujourd'hui l'immigration n'est plus une chance en France»

    Le Figaro

  • Manifestation à Paris contre la reprise des expulsions locatives

    AFP

  • Chasse à l'homme en Dordogne pour retrouver un ancien militaire lourdement armé

    AFP


  • Cannes: la ville prête à accueillir les festivaliers en juillet
    Les hôtels cinq étoiles ont rouvert, la musique résonne de nouveau sur les plages de la Croisette: après une année marquée par le Covid, Cannes se reprend à espérer à l'approche du festival qui aura lieu exceptionnellement en juillet.


    AFP


  • Marseille: un bus gratuit pour amener des publics éloignés au Mucem
    A Marseille, grâce à un bus spécialement affrété qui vient les chercher chaque dimanche, des publics éloignés socialement et géographiquement peuvent profiter du Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (Mucem).


    AFP


  • Maroc: la capitale du tourisme, Marrakech, à bout de souffle avec la crise sanitaire
    L'effervescence de l'emblématique esplanade, classée au patrimoine mondial de l'Humanité, a laissé place à un silence assourdissant depuis que les conteurs, musiciens et charmeurs de serpents en ont été chassés il y a plus d'un an, dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire. Beaucoup d'artistes «se retrouvent à mendier pour survivre», confie Mariam Amal, musicienne de rue. En 2019, trois millions de touristes avaient afflué dans la ville rouge. Mais, avec la fermeture des frontières et les restrictions sanitaires, Marrakech, et, avec, le tourisme national, ont plongé dans une crise sans précédent.


    Le Figaro

VIDÉO SUIVANTE

Des animaux ont ainsi été retrouvés étouffés avec des masques dans l’estomac. Les scientifiques alertent sur ce qui pourrait bien être une conséquence indirecte de la pandémie de coronavirus, et le désastre écologique sous-jacent qui s’annonce.

Quelle est la composition des masques ?

Les masques sont principalement composés de polypropylène, une résine plastique parmi les plus utilisées sur la planète (emballages alimentaires, blouses et charlottes jetables, certains billets de banque, etc.). Leur dégradation est lente, près de 400 ans. Durant ce temps, ces protections vont imprégner la terre de nanoparticules et la polluer à long terme.

La décomposition est plus rapide en mer, mais ces mêmes particules sont ingurgitées par les poissons… puis par l’Homme. Enfin, lorsqu’ils sont incinérés, les masques émettent du dioxyde de carbone toxique. Dans les trois cas, l’écosystème est menacé.

Quelles solutions pour pallier cette pollution ?

Puisqu’il est difficile de se passer de ces protections essentielles en temps de pandémie — et que le gouvernement recommande d’éviter les masques en tissus moins filtrants — les solutions sont donc :

  • De privilégier les masques réutilisables (de catégorie 1, c’est-à-dire certifiés) ;
  • De remplacer le polypropylène par de la fibre naturelle en l’imposant aux industriels ;
  • De créer une nouvelle filière de recyclage.

Source: Lire L’Article Complet