Ce mardi 25 mai France 2 a diffusé un épisode inédit de Rendez-vous en terre inconnue, dans lequel Vianney s’est immergé à la rencontre du peuple Afar en Ethiopie. Trop heureux de l’accueil de ses hôtes, le chanteur voulait leur laisser un cadeau, mais la production l’en a dissuadé. Il en a dévoilé les raisons dans Télé-Loisirs.

Vianney

Raphaël de Casabianca

Vianney s’est immergé durant une dizaine de jours au sein d’une tribu reculée de l’Ethiopie, le peuple Afar. Le coach de The Voice avait dévoilé à ses fans sa participation à l’émission Rendez-vous en terre inconnue en janvier dernier, alors qu’il prenait l’avion pour cette fameuse destination, alors inconnue pour lui. Depuis, les fans du chanteur et de l’émission, attendaient la diffusion de cet opus inédit. Ce mardi 25 mai, des millions de personnes ont enfin pu suivre les pérégrinations de Vianney aux côtés de Raphaël de Casabianca ! Entre émotion, rires et instants de partages, Vianney s’est montré un hôte ouvert et attentif. Tant et si bien que le compagnon de Catherine Robert est parvenu à nouer des liens étroits avec ce peuple de nomades, malgré la barrière de la langue.

Aussi, à la fin de son aventure, le chanteur souhaitait laisser un cadeau, comme ses vêtements ou ses chaussures. Mais la production de l’émission l’en a fortement dissuadé. Vianney en a dévoilé les raisons dans les colonnes de Télé-Loisirs.

« On peut aider mieux et autrement « 

« La tenue que je porte m’a été donnée par la production. Je n’ai rien à moi, a expliqué Vianney. Je me suis dit que ça pourrait les aider, notamment les bonnes chaussures pour la montagne« , a raconté le chanteur, qui n’a cependant pas pu aller au bout de son idée. « Franck Desplanques, le rédacteur en chef de l’émission, me l’a formellement interdit. On peut leur donner des choses, mais de chez-eux. Ils ont leur vie, et il faut y veiller« , a-t-il expliqué.

Les journalistes de Télé-Loisirs ont alors demandé si la production de l’émission avait néanmoins laissé quelque chose aux Afars. « Oui, mais pas des vêtements, a répondu l’ami d’Amel Bent. Plutôt un dromadaire et une centaine de kilos de sucre et de farine. Ils ont davantage besoin de cela. La paire de lunettes de soleil Quechua, ça aurait plutôt cassé quelque chose. Attention aux cadeaux empoisonnés : on peut aider mieux et autrement « , a conclu le chanteur, qui avoue avoir été « transformé » par l’expérience.

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