Tandis que Loana sombre encore, sa maman Violette vient de réagir.

La triste nouvelle est tombée hier soir… Sur le plateau de TPMP, Guillaume Genton, qui tourne actuellement un documentaire sur Loana, dans le sud de la France, a annoncé à Cyril Hanouna que l’ex star de téléréalité avait de nouveaux soucis de santé.

« Qu’elle arrête ses drogues, hein ! Moi je ne peux rien faire ! »

Elle qui terminait une journée de tournage ce dimanche, pour C8, aurait arrêté de prendre de la cocaïne pour consommer du GHB (communément appelé la drogue du violeur, ndlr). C’est ce qu’elle aurait consommé pendant toute la journée, dilué dans une bouteille d’Oasis. Reconduite par un chauffeur à l’hôtel,  elle aurait alors mis sa chambre sans dessus-dessous, pour retrouver cette bouteille. Résultat le lendemain, elle aurait été conduite à l’hôpital après une surdose de GHB. A Hyères, elle va être transférée en hôpital psychiatrique, nous dit-on.

Une nouvelle qui a évidemment fait réagir et notamment sa maman, Violette, contre qui elle a porté plainte il y a quelques semaines seulement. Loana accuse en effet sa mère de l’avoir manipulée et volée en s’associant à Fred Cauvin par cruauté. Ce 23 février,  Violette a lancé dans les colonnes de Star Mag, face à la gravité de la situation : « Qu’elle arrête ses drogues, hein ! Moi je ne peux rien faire ! (…)  je n’ai aucun moyen de la joindre ! »

« Elle n’a jamais arrêté de prendre des drogues »

De son côté, l’ex compagnon de Loana, Fred Cauvin, qui vient d’annoncer qu’il allait être papa, a estimé : « Je ne sais pas si c’est une nouvel accident ou une énième tentative de faire le buzz. Une chose est sûre, elle n’a jamais arrêté de prendre des drogues comme elle l’a assuré sur tous les plateaux de télé ces dernières semaines ».

De son côté, Sylvie Ortega, qui l’accompagne pendant ce voyage a laissé éclater sa colère sur la Toile. Accusée par d’anciens lofteurs d’être une mauvaise influence dans la vie de Loana, elle leur aurait balancé en story Instagram : « Je n’ai pas de compte à vous rendre, vous n’étiez pas avec nous et de trois vous nous cassez les co**lles […] Je suis bien gentille de donner des nouvelles, et d’ouvrir ma gue*le parce qu’honnêtement je ne vous dois rien. Maintenant insultez-moi, j’ai les épaules pour ça ».

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