Dans une interview accordée au magazine Elle à l’occasion de la sortie prochaine du biopic Céline, Valérie Lemercier a révélé qu’elle avait été très critiquée sur son physique lorsqu’elle était adolescente…

Valérie Lemercier à coeur ouvert ! Alors que son film Céline, biopic sur Céline Dion, devait initialement sortir dans les salles obscures le 11 novembre, l’actrice s’est prêtée au jeu des interviews. Seulement, à cause de la crise sanitaire et de ce second confinement, la sortie a été repoussée à une date toujours inconnue, cependant, certains journaux ont décidé de tout de même publier leurs entretiens. Ainsi, dans son numéro en kiosques ce vendredi 6 novembre, Elle propose deux pages d’une jolie discussion avec Valérie Lemercier. Celle-ci y évoque son rapport à la beauté.

« Comme Céline, vous ne vous trouviez pas belle… » lance le journaliste en début d’interview. Celle qui a été traumatisée par Les Visiteurs a alors répliqué : « C’est sûr qu’au lycée Jeanne d’Arc de Rouen, la plus jolie, c’était Estelle Lefébure. » Valérie Lemercier a ensuite expliqué : « Moi, on disait qu’il fallait me mettre un oreiller sur la tête – genre le corps, ça va, mais le reste... » L’actrice a alors fait un parallèle avec la vie de l’interprète de My heart will go on. « Céline aussi a dû entendre des choses pareilles, même si je suis sûre que sa mère lui disait « T’es belle, ma fille, » a-t-elle poursuivi.

Ce traumatisme en elle…

Les points communs avec Céline Dion ne s’arrêtent pas aux blessures morales. Valérie Trierweiler précise : « Comme Céline, j’ai passé trente ans de ma vie sur scène, à jouer quatre cents fois tous mes spectacles. Dont une de trop, d’ailleurs, à Montréal, en 1990. » Puis de raconter une expérience traumatisante. Ce soir-là, rien ne s’est passé comme prévu et 30 ans après, elle s’en souvient encore… « Air Canada avait acheté toutes les places pour ses employés car on avait confondu mon nom avec celui de Claudine Mercier, une imitatrice québécoise, alors tout le monde, au fil de la représentation, quittait la salle. J’en suis restée traumatisée« , s’est-elle souvenue.

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

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