Ce mardi 4 août, TF1 diffuse un épisode de Joséphine, ange gardien. L’occasion d’évoquer la maladie dont souffre Mimie Mathy et contre laquelle ses parents ont envisagé toutes les solutions. Ces derniers ont même tenté l’impossible.
A 63 ans, Mimie Mathy est bien dans sa peau et a tout pour être heureuse. Star de la série Joséphine, ange gardien sur TF1, dont un épisode est diffusé ce mardi 4 août, la comédienne connaît toujours autant de succès auprès des téléspectateurs. Côté vie amoureuse, l’actrice est également épanouie dans les bras de son mari Benoist Gérard qu’elle a épousé en 2005. Un bonheur que savoure l’incontournable membre des Enfoirés et qui soulage également bien ses parents. Ces derniers ont toujours été très inquiets pour elle. Atteinte d’achondroplasie, une maladie de l’os provoquant un nanisme, Mimie Mathy vit désormais avec ce handicap qu’elle avait déjà évoqué sur Le Divan de Marc-Olivier Fogiel en 2017. « Certains ont dit que je ne dépasserais pas 75 centimètres, que je ne marcherais jamais », a-t-elle raconté alors que des médecins lui proposaient même de l’opérer pour lui écarteler les genoux et les coudes. De lourdes interventions douloureuses qu’elle n’a heureusement pas subies.
Pourtant son père et sa mère ont tout fait pour la soigner. Dans les colonnes de Télé-Loisirs, l’actrice a d’ailleurs raconté une surprenante anecdote. A l’âge de 2 ans, ses parents l’ont amenée à Lourdes « dans l’espoir d’un miracle« . « Mes parents sont croyants donc ça représentait quelque chose d’important pour eux« , a-t-elle expliqué. Un geste désespéré qui n’a bien évidemment pas aidé Mimie Mathy à se débarrasser de sa maladie. Une situation qu’elle prend aujourd’hui avec beaucoup d’humour. « Est-ce que ça m’a permis de m’en sortir dans la vie ? Je ne sais pas, mais en tout cas, ça ne m’a pas fait grandir« , a-t-elle ajouté. Une anecdote également évoquée par sa mère Roberte qui avait raconté à Télé Poche sa réaction lorsque les médecins lui ont appris qu’aucun remède n’était possible. « C’était notre fille on l’adorait, avait-elle déclaré. On est allé voir un professeur qui nous a dit, votre fille elle sera comme ça. La science n’y peut rien. Puisque la science n’y peut rien, notre fille on va l’emmener à Lourdes ! »
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