Éric Dupond-Moretti est un homme qui admire sa compagne. Il est en effet fan de l’œuvre d’Isabelle Boulay, celle qui partage sa vie depuis de nombreuses années. Dans un livre paru en 2018, on apprend qu’il laisse même couler quelques larmes en écoutant une chanson en particulier…
Eric Dupond-Moretti
Isabelle Boulay
Isabelle Boulay partage la vie d’Éric Dupond-Moretti depuis de nombreuses années maintenant. On ne sait pas exactement quand leur relation a débuté : elle est restée un secret bien gardé jusqu’en 2016. La chanteuse québécoise trouve ainsi de nombreuses qualités chez son partenaire : « C’est une drôle de bête, tendre, sensible, très compassionnelle. Il est très humain et en même temps, il a ce feu en lui. C’est un homme en colère. C’est tout ça qui me plaît chez lui », expliquait-elle au Parisien. Et si elle admire son homme, qui a refusé d’évoquer son patrimoine en interview, le contraire est aussi vrai. Éric Dupond-Moretti est un fan de la première heure d’Isabelle Boulay ! C’est dans le livre Le droit d’être libre écrit avec le journaliste Denis Lafay et paru en 2018 qu’on découvre cette passion de celui qui est surnommé « Acquitator ». Le nouveau ministre de la Justice est un grand fan de Si tu me payes un verre, un titre de Serge Reggiani repris par sa compagne.
Des paroles qui résonnent en lui
« Éric m’avait confié ‘pleurer’ à la voix qu’elle pose sur ‘Si tu me pays un verre’ », écrit le journaliste dans un extrait de l’ouvrage repris par Gala. Mais on peut se demander pourquoi c’est ce titre en particulier qui touche à ce point Eric Dupond-Moretti… Il faut chercher la réponse dans la voix profonde de sa femme, mais aussi dans les paroles. Ainsi, on peut entendre dans l’un des passages cette phrase : « Ne jamais juger le bon ni la canaille ». Des paroles qui résonnent dans l’esprit de l’avocat : « Un seul passage aurait suffi pour comprendre ce que la chanson déclenche dans le corps d’Éric, […] celui qu’ont tour à tour mutilé, réparé, enfiévré, enivré, restauré, tuméfié, exalté, démembré, tant de luttes et tant de plaidoiries », écrit le journaliste dans son ouvrage avant d’ajouter : « Éric sait quel est lui-même bon et canaille, il sait que tout individu est à la fois bon et canaille », lui qui défend tous ceux qui en ont besoin. « Il sait que l’avocat a pour avoir de révéler ou d’exhumer la part de bon qu’a pu éteindre la part de canaille que veut enterre l’opinion publique. »
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