De 2002 à 2005, le petit écran enregistrait des records d’audience grâce à la série espagnole « Un, dos, tres », intitulée « Un paso adelante » dans sa version originale. L’actrice et chanteuse Beatriz Luengo, alias Lola, vient de faire des révélations surprenantes…

Lola, Ingrid, Silvia, Roberto ou encore Pedro… autant de noms qui font écho dans les oreilles de ceux qui ont grandi dans les années 2000. Et pour cause, il s’agit des personnages de la série Un, Dos, Tres, véritable carton sur M6 pendant six saisons. Invitée de la télévision espagnole, Beatriz Luengo a fait quelques révélations.

L’actrice et chanteuse de 36 ans, en pleine promotion pour un livre illustré intitulé El despertar de las musas, était conviée le 28 octobre 2019 sur le plateau de l’émission La Resistencia. Dans un extrait repéré par un journaliste et partagé sur Twitter – également disponible sur la presse espagnole –, on apprend qu’elle a évoqué les dessous d’Un, Dos, Tres. Ainsi, elle a raconté que les scénaristes de la série avaient été frileux dans un épisode mettant en avant le personnage de Silvia Jáuregui, interprété à l’écran par Monica Cruz. Le problème ? Il fallait parler d’avortement…

« Ils ont coupé une intrigue impliquant l’avortement du personnage de Monica, car ils trouvaient cela trop fort. (…) Elle devait arrêter sa carrière de danseuse et réfléchir pour savoir si elle voulait garder son fils ou pas. Comme ils ont jugé cela trop délicat, ils ont laissé tomber cette intrigue et ont rapidement trouvé une solution en lui faisant perdre le bébé en reproduisant la célèbre chorégraphie de Dirty Dancing », a raconté Beatriz Luengo.

La jolie brune, qui est devenue maman en 2015, a aussi évoqué certaines scènes de la série impliquant de la nudité. Elle a révélé que la production engageait des figurantes spécialement pour apparaître dans le plus simple appareil dans les vestiaires de l’école de danse dirigée par Carmen Arranz (interprétée par Lola Herrera). Il se pouvait ainsi qu’une scène soit rejouée juste pour être certain que l’on voie dans le fond une demoiselle dénudée… « Les réalisateurs vont me détester. Je crois que la production ne m’appellera plus jamais« , a-t-elle lâché en riant.

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Y llegó el día!!!?? YA EN LAS TIENDAS!! Con mucho cariño, os comparto EL DESPERTAR DE LAS MUSAS, 12 mujeres apagadas en la historia por la denominación tramposa de “MUSA” y que fueron mucho más que eso. Fueron genios (tristemente, “genia” no lo reconoce la RAE): creadoras, ingenieras, poetas, pintoras… lamentablemente recordadas como “la mujer de” Einstein, “la hermana de” Mozart, “la mujer de” Dalí… Ellas descubrieron la teoría de la relatividad, la vacuna de la sífilis, y orbitaron la tierra en una época en la que tocar el cielo les estaba negado. La historia las silenció por ser mujeres. Hoy reescribimos el significado de “MUSA”. Y es que las MUSAS ya no son esas mujeres dóciles que esperan ser invocadas por un genio para existir. Las MUSAS de hoy son reivindicativas, creadoras y fuertes. No esperan a ser soñadas para existir. Existen, son una realidad.❤ Ilustraciones de la musa @martawaterme ? #eldespertardelasmusas

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#Exclu En promotion pour son livre, l’actrice Beatriz Luengo raconte qu’un pisode de #UnDosTres sur l’avortement a t censur ! #Srie #ElDespertarDeLasMusas #ALaManiereDuZappeurFou pic.twitter.com/s8N8ieDzkn

Thomas Montet

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