Invité sur le plateau de C’est que de la télé sur C8, Fabien Lecoeuvre a donné les raisons de son embrouille avec Michel Polnareff.

Tout le monde était au courant de l’embrouille entre Pascal Obispo et Michel Polnareff. Mais le chanteur de 75 ans qui est allé jusqu’en justice pour régler ses comptes avec un ancien agent, est également en froid avec un chroniqueur de Touche Pas À Mon Poste. En effet, Fabien Lecoeuvre s’est confiée sur cette brouille qui dure depuis un petit moment.

« On s’est déjà disputé une première fois, il voulait me tuer, il n’a pas réussi. C’est passionnel », a-t-il tenté de dédramatiser sur la plateau de C’est que de la télé sur C8 avant de donner plus de détails.
 

« On a eu une forme de rupture (…) J’ai un contrat avec lui depuis des années en tant que conseiller en communication et agent, qui me rémunère à 16% de ses revenus », a expliqué l’attaché presse qui a aidé l’interprète de Lettre à France l’a aidé à conclure une vente à « plusieurs millions d’euros » sur laquelle, il n’a toujours « pas touché (sa) commission ».
« Michel Polnareff dissimule auprès de son public la vraie cause » de leur dispute. « C’est des choses très personnelles, je ne voulais pas les mettre sur les réseaux sociaux ». Il conclut en disant : « Je ne veux pas l’attaquer dans un truc personnel, parce que j’imagine qu’on va se rappeler d’ici six mois, qu’on va se tomber dans les bras parce que c’est un type formidable ».

À couteaux tirés avec Christophe Dechavanne

Fabien Lecoeuvre, connu pour sa proximité avec de nombreuses personnalités (Patrick Sébastien, Chantal Goya…) révélait en novembre dernier sur le plateau de TPMP que Christophe Dechavanne d’avoir eu recours à la chirurgie esthétique. « C’était il y a vingt-cinq ans (…) On était dix-sept (…) Il y avait Delarue, Dechavanne, c’est devenu un truc banal, tout le monde le fait ».

Des déclarations qui ont provoqué la colère de l’animateur de Je suis une célébrité, Sortez-moi de là ! qui s’était déchainé sur Twitter avec ce message : « Ce garçon (…) écarté dès la première tournée d »Ages Tendres’ pour soucis de compétences parle plutôt des morts d’habitude (…) C’est son fond de commerce ».

Jb.

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