Le 18 juillet est un jour spécial pour Sabrina Ouazani, celui de la mort de son premier amour mort tragiquement il y a 13 ans. Inconsolable, elle lui a à nouveau rendu hommage sur ses réseaux sociaux.

13 ans après la mort de son premier amour, Sabrina Ouazani est toujours inconsolable. C’était son premier fiancé, il s’appelait Yassine Belmadi et il trouvait tragiquement la mort dans un accident de scooter à l’âge de 33 ans le 18 juillet 2009. Il avait « percuté un lampadaire alors qu’il se débarrassait d’une cigarette » à l’angle du boulevard Henri IV et du pont de Sully, dans le quatrième arrondissement de Paris comme l’avait rapporté Le Parisien à l’époque. 

Depuis cette date, tous les ans, l’actrice de « Plan Cœur » lui rend hommage. L’an dernier, celle qui a déjà été gravement blessé sur le tournage d’un clip d’Amel Bent publiait sur son compte Instagram le dessin d’un cœur brisé, une femme s’y accrochant, tentant en vain de le maintenir en vie. Cette année, elle renouvelle son hommage en partageant une illustration sur son compte Instagram. Toujours un cœur qui se fissure et une personne essayant de le maintenir intacte. « 18.07.22 Y », a-t-elle sobrement écrit en légende de sa publication. 

https://www.instagram.com/p/CgJ6iRANf7C/

Une publication partagée par Sabrina Ouazani (@sabrinaouazani)

« Chez moi, il y a toujours des photos de lui. Au fil des années, j’ai réussi à transformer cette tristesse en force. Chaque fois que je galère ou que je suis fière de moi, je pense à lui », avait déclaré l’actrice de 33 ans il y a quelques années. Aujourd’hui, elle a retrouvé l’amour dans les bras de Franck Gastambide. « Je ne nie pas mon histoire d’amour, mais ça nous appartient. Par exemple, poster des photos où on se tient la main et où on se bécote, ce n’est pas notre truc. Moi, j’ai grandi dans des valeurs de pudeur », avait déclaré l’actrice lors d’un entretien accordé à Téléstar en 2018. 

Bientôt parents ? Pour Franck Gastambide, l’idée l’effraie. En partie à cause de sa dyslexie qu’il a peur de « transmettre » à son enfant. « J’ai tellement peur d’avoir des enfants qui ont mon handicap, qui peuvent avoir les complexités que j’ai rencontrées dans ma vie », avait-il confié à Nikos Aliagas dans « 50′ Inside ». « Je suis assez terrorisé par ça [la dyslexie] mais je sens que le moment arrive », poursuivait-il. 

Laure Bertrand 

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