Dans la matinale qu’elle incarne chaque jour, de 6 heures à 8h30, Pascale de La Tour du Pin essaie de ne jamais verser dans le catastrophisme malgré une actualité peu réjouissante, largement dominée par la crise sanitaire. En compagnie de ses chroniqueurs, comme Benjamin Cruard ou Magali Barthes, et de plusieurs journalistes sur le terrain, elle met l’accent sur le décryptage des faits afin de tordre le cou aux infox qui circulent sur la Toile. «On entend tout et son contraire! Les téléspectateurs ont besoin de trouver une information fiable. Les réseaux sociaux ne remplaceront pas les journaux», estime la présentatrice, qui en profite pour se féliciter de l’audience croissante de la matinale. En 2020, dopée par l’épidémie de Covid-19, sa tranche a progressé de 11% par rapport à 2019.

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Lorsque Pascale de La Tour du Pin met un instant le nouveau coronavirus de côté, l’élection américaine n’est jamais bien loin. En novembre dernier, elle a délocalisé son plateau à Washington à l’occasion du duel opposant Joe Biden et Donald Trump, offrant ainsi treize heures de direct. Ce mercredi 20 janvier, LCI a décidé de déployer un dispositif spécial pour couvrir l’investiture du candidat démocrate à la Maison-Blanche, prévue à 18 heures (heure française). «Ça commencera autour de 17 heures. Julien Arnaud se trouve à Washington avec les équipes de LCI et de TF1 pour faire vivre l’avant, le pendant et l’après. Je n’ai pas pu y aller à cause des mesures liées au Covid-19», confie-t-elle. Depuis le 18 janvier, le gouvernement impose un isolement de sept jours pour tous les voyageurs en provenance d’un pays situé hors de l’Union européenne.

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