• M6 a diffusé lundi soir la troisième soirée de la saison 17 de L’Amour est dans le pré.
  • Jean-Paul et Guillaume ont effectué leurs speed-datings. Emmanuelle, la fille de Jean-Paul, a décidé de ne rencontrer aucun prétendant : elle n’a été séduite par aucun courrier.
  • Le séjour à la ferme se poursuit chez Jean et vient de commencer chez Noémie et Alexandre.

« Je serais bref, circoncis et précis », a promis Jean-Paul, lundi, lors de la troisième soirée de L’Amour est dans le pré sur M6, sans se rendre compte qu’un de ses mots avait un bout en trop. Il faut dire qu’avec le viticulteur du Grand-Est, il y avait de quoi s’inquiéter côtés heures supplémentaires : recordman du nombre de lettres reçues cette saison, il a passé dix heures sur l’ouverture de ses courriers.

Dans le lot, un saut dans le passé : une certaine Valérie, dont il avait fait la connaissance il y a quelques années avant de la perdre de vue, lui a écrit en citant les paroles de la chanson Je reviens te chercher de Gilbert Bécaud : « Je savais que tu m’attendais. Je savais que l’on ne pourrait se passer l’un de l’autre longtemps. »

Et maintenant, que va-t-il faire ? Pleurer, déjà, car, pour ce veuf de 70 ans, ce coup de cœur surgi du passé, c’est beaucoup d’émotion. « Je ne pouvais pas laisser passer cette occasion. Il y a dix ans, ce n’était pas le moment, je n’étais pas prête », lui a expliqué Valérie lors du speed-dating avant de lui confier : « Tu m’as toujours séduit à travers ton charisme ».

Le cœur « qui fait boum boum »

Jean-Paul en a le palpitant « qui fait boum boum ». C’est le bon timing, la suite s’esquissera lors du séjour à la ferme où a également été conviée Devi. Cette Suisse mère de trois enfants est en reconversion professionnelle pour devenir prof de chi gong. Entre le viticulteur et elle, le courant passe, les regards intenses qu’ils s’échangent ne mentent pas.

Emmanuelle, la fille de Jean-Paul, était elle aussi au casting de cette saison pour tenter de trouver sa moitié. Mais aucun des courriers reçus n’a séduit la brune de 42 ans. Elle a donc décidé d’en rester là. « Je n’ai pas eu de crush », a-t-elle dit à Karine Le Marchand, tout en assurant le vivre très bien.

Guillaume, lui, était en quête d’un homme « blond, viril, entre 28 et 38 ans ». Mais l’Auvergnat de 34 ans a trouvé les courriers « tellement jolis » qu’il a fait fi de ces critères. Il en a été bien inspiré puisqu’il a invité dans sa ferme pédagogique Tom, 24 ans, qui travaille dans un haras. Quand Guillaume lui a demandé « Ton avenir, tu le vois comment ? », il a répondu « Avec toi ». Maxime, l’autre prétendant sélectionné, est quant à lui plus pragmatique. Est-ce qu’il arrive à se projeter dans la vie à la ferme ? Le modéliste de 35 ans joue la carte de l’honnêteté en ne répondant pas oui sans réfléchir : « C’est l’inconnu pour moi. »

« Il me faut du répondant »

Chez Noémie, dans le Jura, Romain a été le premier arrivé. Avec du Maroilles. Il n’en est pas moins en odeur de sainteté. « Il y a le feeling, le bémol, c’est qu’il est petit », confie l’agricultrice. Gaël, son coup de cœur, lui, est submergé par le stress. Il est sur la réserve, timide. « Il ne s’ouvre pas, déplore Noémie. Moi, il me faut du répondant. »

En Normandie, Laura a le droit à un tour en tracteur avec Alexandre. La jeune femme « adore ». Elle n’a que ce mot à la bouche, pendant toute la virée. « Même si j’ai eu un coup de cœur pour Annaig, je pourrais être surpris par Laura, on ne sait jamais », avait expliqué l’agriculteur un peu plus tôt. Arrivée un peu plus tard à la ferme, la Bretonne est jalouse de ne pas avoir eu la primeur du tracteur et elle le dit en privé face caméra. Laura tente de créer un lien avec elle, notamment en lui offrant un bracelet. Mais Annaig n’est pas sur la même longueur d’onde : elle n’est pas là pour se faire une amie.

Le match Nathalie vs. Laurence

Dans le Rhône, du côté de chez Jean, l’esprit de compétition persiste entre Nathalie et Laurence. La semaine dernière, les désaccords tournaient autour du sel et de la pâte brisée ou feuilletée. Cette fois-ci, la différence de style s’exprime dans la découpe du bois. « J’ai vu tous les gestes à ne pas faire et qu’elle a fait », s’enorgueillit ainsi Nathalie pendant que Laurence veille à ne pas laisser un doigt dans la machine.

Un peu plus tard, c’est au mont Saint-Rigaud, à un peu plus de 1.000 m d’altitude que Jean emmène ses prétendantes. Il a rebaptisé Laurence Florence. Le signe d’un désintérêt ? A la fontaine, il a fait boire Nathalie dans ses mains. Le signe d’un intérêt ? « C’est un début », a-t-elle jugé. Sentant qu’elle a le vent en poupe, elle a proposé d’aller faire un karaoké. Laurence n’ayant pas su comment surenchérir, elle a dit que c’était une bonne idée.

Source: Lire L’Article Complet