Sur Instagram, Ève Angeli a révélé avoir été victime d’un accident de la route en compagnie de sa mère. La chanteuse et vedette de télé a au passage divulgué des photos choc !

Ève Angeli, chanteuse et vedette de télé, se munie régulièrement d’Instagram pour partager son quotidien. Mais le 11 août dernier, celle qui a dernièrement évoqué son nouveau nom de scène et annoncé un « revirement d’image » lors de son passage dans TPMP People, a fait part d’une mauvaise nouvelle sur son réseau social fétiche. 

Avec sa mère, elles ont été victimes d’un accident de la route. « Plus de peur que de mal… Ma tournée d’été continue sur les chapeaux de roues et forcément les probabilités d’avoir un accident sont grandes. Et bam ! Ce matin une camionnette lancée à vive allure nous a percutées ma maman et moi. Heureusement à part le stress lié au choc nous sommes saines et sauves mais j’ai vraiment eu peur pour ma maman qui était du côté conducteur de retour de mon concert… Ma douce maman qui a géré comme une lionne. Fière de sa réaction héroïque même si j’étais très choquée par la collision », a-t-elle écrit en légende de plusieurs photos choc. Sur celles-ci, on y découvre les véhicules bien cabossés par l’accident ainsi qu’une photo d’elle. 

https://www.instagram.com/p/ChHrBq3rsm3/

Une publication partagée par Eve Angeli (@eveangeliofficiel)

Eve Angeli n’a pas de filtre lorsqu’il s’agit de parler de sa vie privée et évoque, par exemple, sans tabou ses interventions de chirurgie esthétique. Invitée de l’émission « Chez Jordan » en mars dernier, la starlette s’est exprimée sur cette opération qui l’a énormément traumatisée. « J’avais un sein plus petit que l’autre. Donc c’était plus réparateur. C’était un complexe. J’ai quand même profité du coup pour passer d’un (bonnet) B à un C », expliquait l’ex-compagne de Michel Rostaing au sujet de son complexe. Avant de parler de sa mauvaise expérience : « On te charcute. Si tu veux que ça soit naturel, c’est derrière le muscle, donc t’as de la convalescence derrière, t’as mal pendant longtemps. Si on m’avait dit la douleur que ça serait, je ne l’aurais pas fait […]”, a analysé Eve Angeli, amère. “On a comme une déchirure musculaire et c’est une torture, on reste avec un bandeau pendant une semaine ou deux. On est obligé de se laver avec, on dort avec, on est compressé. C’est une horreur ».

Laure Bertrand 

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