Yamina participe à la nouvelle saison de l’émission "Cleaners" diffusée sur TMC. Alors qu’elle vient d’emménager avec son chéri Clément, la candidate de télé-réalité a fait appel aux experts pour résoudre une problématique. Entretien.

Télé Star : Qu’est-ce qui vous a motivé à écrire à l’émission ?

Yamina : En fait c’est la production qui est venue me chercher. Elle a vu que j’étais en train de déménager et elle m’a demandé si j’avais une problématique à résoudre. En fait, elle était à la recherche d’une influenceuse pour refaire son dressing et dans mon cas ça tombait à pique ! Personnellement, je suis vraiment quelqu’un de bordélique mais que pour les vêtements, je ne suis pas sale (rires). Pour expliquer le contexte, au départ je vivais dans l’appartement de mon chéri et j’avais beaucoup de vêtements, pourtant la moitié était restée chez ma mère. Donc quand on a acheté cette maison ensemble ça débordait, il n’était pas prêt et moi-même je ne savais plus comment gérer.

Comment en êtes-vous arrivée à accumuler autant d’affaires ?

Je suis influenceuse donc ça n’aide pas car on reçoit énormément de choses. Mon souci c’est que je n’arrive pas à m’en séparer. Je me dit que tout pourra me servir un jour ou l’autre et je m’attache à mes affaires. En plus je n’aime pas jeter.

Selon vos dires votre compagnon Clément était "atteint" par votre désordre. Que vouliez-vous dire par là ?

On se disputait sans arrêt ! En plus Clément est maniaque, il aime que les choses soient rangées et à leur place. Donc en fait on s’engueule tout le temps pour tout (rires). C’est quotidien et rigolo parfois mais c’est aussi pesant dans certaines situations. En ce qui concerne mon bazar, il n’a jamais essayé de prendre les choses en main. Il s’occupe plus des parties communes et de ses propres affaires.

L’arrivée des experts a-t-elle été un soulagement ou à l’inverse une crainte ?

Ça faisait 15 jours qu’on avait emménagé quand ils sont arrivés. J’étais traversée par ces deux sentiments à la fois. D’un côté je me suis dit que je n’allais pas être seule pour gérer cette situation mais d’un autre j’avais peur qu’on me demande de me séparer de choses dont je n’avais pas envie. Je savais que ça allait être un tournant pour moi et ma famille.

Vous avez fondu en larmes en faisant le tri de vos chaussures. Pourquoi une telle émotion ?

Je me suis posée la question. En fait je les ai personnifiées et je leur ai donné beaucoup trop d’attention. Les chaussures c’est vraiment mon point faible. J’adore ça !

Etiez-vous un brin soulagée de ne pas avoir à participer au tri de A à Z ?

Honnêtement j’étais contente de voir l’expert Claude débarquer et continuer la mission. Ça m’a enlevé un poids parce que le tri, je déteste ça, ce n’est pas ma passion. Mais j’avais quand même une petite réserve parce que je n’avais pas envie que derrière moi il enlève encore des choses. Et comme je suis forte en décoration, pour l’amménagement de mon espace j’avais laissé quelques petites consignes. Je voulais une pièce avec des espaces délimités : dressing et bureau. Autrement dit, Claude a eu carte blanche. Au total ils ont mis trois jours pour tout faire.

Qu’avez-vous fait des affaires dont vous vous êtes séparé ?

J’ai donné mes vêtements à une association bordelaise qui s’appelle Stop misère. Pour le vide-dressing, je suis en train de négocier avec des grandes surfaces pour mettre en place un espace seconde main. C’est un nouveau mode de consommation qui me plaît énormément et qui me correspond plus aujourd’hui. J’ai envie de faire ça sur le long terme, de faire partie d’une lignée "upcycling". On commence à être à court de matière première donc c’est essentiel de se pencher sur la question. J’ai aussi pris la décision d’arrêter d’être influenceuse fashion. J’oriente mon compte vers la food et la déco. Ca dure plus longtemps. C’est un nouveau souffle dans ma vie.

Avez-vous réussi à tenir ces nouvelles habitudes de rangement ?

Oui ! Le pliage notamment et d’exposer mes chaussures et mes sacs. Ça permet vraiment d’y voir plus claire !

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