Ce vendredi 9 septembre, TF1 donne le coup d’envoi à la 12e saison de Danse avec les stars, à laquelle participe Thomas Da Costa. L’acteur d’Ici tout commence se livre à Télé Star sur cette aventure hors du commun.

Télé Star : Comment se passent les premiers entraînements de Danse avec les stars ?

Thomas Da Costa : Très bien ! Il y a beaucoup de fatigue physique et psychologique du fait de tout ce que je dois retenir mais je sens déjà une progression. Je ne partais pas de grand chose. Je n’avais pas les bases. Mais c’est quelque chose qui s’apprend, qui demande du temps, de l’énergie et de la rigueur. Et je sens déjà que j’avance, ce qui me plaît.

Quel est votre atout dans cette compétition ?

L’avantage que j’ai, c’est peut-être dans l’interprétation. Et la progression future. Quand tu es à 80% de maîtrise, c’est plus difficile de passer à 85, alors que quand tu commences à 10 ou 20%, tu progresses et te développes davantage. Je découvre des muscles que je ne pensais pas avoir. Des parties de mon corps que je ne soupçonnais pas.

Billy Crawford de par ses compétences en danse n’est donc pas l’homme à abattre ?

Personne n’est à abattre. La compétition, c’est surtout nous contre nous-mêmes. J’ai accepté avec grand plaisir de participer à Danse avec les stars pour me dépasser moi-même. Je veux avancer, progresser, gagner de l’expérience et élargir mon spectre artistique. Évidemment que Billy Crawford part avec une base que certains n’ont pas mais ça fait partie du jeu. Quand, au bout d’une journée, il maîtrisait sa chorégraphie, moi, j’avais uniquement mal [rires]. Ça tire vers le haut d’être avec des personnes qui ont une expérience de danseur. Ça nous pousse à rester enfermés dans la salle jusqu’à ce qu’on maîtrise les chorégraphies.

Ces conseils que les comédiens d’Ici tout commence ont prodigué à Thomas Da Costa

En participant, votre objectif est-il de remporter Danse avec les stars ?

On est là pour gagner, évidemment. Mais l’objectif est de donner le maximum et de kiffer. Si on se dit "Mon objectif est la demi-finale et si je n’y vais pas, je vais tout casser", ça n’a aucun intérêt. Il faut simplement se dire que toute semaine supplémentaire sera intéressante parce que nous permettra d’apprendre davantage. Cette mentalité-là peut peut-être donner envie aux gens de se dépasser dans leur vie et dans des choses qu’ils ne maîtrisent pas et pensent inatteignables, comme moi avec la danse.

Comme Clément Rémiens et Aurélie Pons, vous conciliez Danse avec les stars et tournages d’Ici tout commence. Vous ont-ils donné des conseils pour survivre ?

Clément, non parce qu’on ne se connaît pas. En revanche, j’ai reçu des conseils d’Aurélie Pons, Azize Diabaté, Terence Telle et Agustin Galianas. J’étais bien entouré pour préparer au mieux cette aventure. Leurs conseils étaient propres à la personnalité de chacun. Ainsi Azize m’a dit : "Vas-y frérot, éclate-toi. Jamais tu stresses. Tu vas tout défoncer", quand Aurélie m’a recommandé de me reposer et de privilégier les choses importantes. Agustin, lui, m’a conseillé de rester moi-même parce que c’est la clé de cette émission.

N’avez-vous pas peur que vos allers-retours entre Paris et le sud vous privent de l’ambiance "colonie de vacances" qui règne entre les candidats de Danse avec les stars ?

Je passe évidemment moins de temps dans les studios mais je n’ai pas l’impression, pour l’instant, de perdre grand chose. Après, ça ne fait qu’une semaine. On est toujours en contact et on se soutient tous. D’ailleurs, Eva Queen est venue aux nouvelles quand je suis reparti dans le sud pour savoir comment cette première semaine se déroulait entre mes répétitions et le tournage de la série.

Thomas Da Costa : "Ce n’est pas quelque chose qui me dérange d’être torse-nu"

Y a-t-il une danse qui vous tient particulièrement à cœur ?

Il y a une danse que j’aimerais vraiment bosser, c’est la valse pour pouvoir la danser avec mes grands-mères. Aux repas de famille, elles la dansent toujours et moi, je suis toujours largué. C’est celle que j’ai le plus envie d’apprendre et du coup, celle que je redoute le plus parce que je sais qu’elles vont m’attendre au tournant. Si jamais je me plante, je vais recevoir des coups de fil, c’est sûr !

Etes-vous prêt à passer tous vos vendredis soirs torse-nu ?

Ce n’est pas quelque chose qui me dérange d’être torse-nu. C’est la dernière de mes préoccupations. Ma priorité est de bien danser. Apparaître torse-nu n’est pas une pression supplémentaire. Et puis, je sais qu’on est dans une production très bienveillante et qui ne sera jamais là pour nous piéger, puisque c’est dans l’intérêt du show que tout le monde soit à l’aise. Si cela avait été une pression, ils l’auraient compris.

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