Depuis 2006, Harry Roselmack est aux commandes du magazine dominical de TF1 "Sept à Huit". Le journaliste a accordé une interview à Éric Dussart et Jade ce samedi 2 décembre 2023 sur TF1, dans laquelle il révèle avoir été par deux fois confronté à des célébrités qui l’ont planté à la dernière minute, et qui ont ordonné la non diffusion de leur portrait, après l’avoir pourtant tourné…

Voilà dix-huit saisons que Harry Roselmack présente le magazine Sept à Huit. Tous les dimanches, le journaliste propose divers sujets sociétaux, encadrés par un portrait de la semaine, qui fait la part belle à une célébrité, ou à une personnalité qui a fait l’actualité. Ce rendez-vous, longtemps incarné par Thierry Demaizière, a été confié à partir de 2018 à Stéphanie Davoigneau, qui a passé la main deux ans plus tard à Audrey Crespo-Mara. Dans quelques semaines, la compagne de Thierry Ardisson va interviewer Joy et Jade Hallyday, une première pour les deux adolescentes qui n’avaient jamais accordé aucune interview télévisée à quiconque depuis la mort de leur père, Johnny Hallyday, il y a bientôt six ans.

Invité d’On refait la télé sur RTL ce samedi 2 décembre 2023, Harry Roselmack a réglé ses comptes avec deux célébrités qui avaient tourné leurs portraits de la semaine mais qui ont finalement, à la dernière minute, demandé à ce que ces derniers ne soient pas diffusés : « C’est arrivé à ma connaissance deux fois ; en tout cas deux fois depuis que je présente l’émission. Et je ne donnerai pas les noms »a indiqué celui qui pendant quelques années a été le joker de Patrick Poivre d’Arvor et de Laurence Ferrari aux JT de TF1. Harry Roselmack a par la suite affirmé que les invités interviewés par Audrey Crespo-Mara n’avaient aucune influence sur le portrait qui était diffusé : « Ils n’ont pas de droit au visionnage, ils n’ont pas le droit de le modifier. Le portrait de la semaine, c’est de la confession » a-t-il expliqué.

Des confessions que les célébrités n’ont pas assumées

« Cette interview se fait en confiance ; c’est-à-dire que la personne qui vient, jamais personne ne s’est senti piégé par le portrait, si ce n’est, effectivement, ces deux personnes, qui ont eu le sentiment, a posteriori, qu’elles s’étaient trop données, qu’elles s’étaient trop livrées, et qu’elles ne pourraient pas gérer l’après«  a-t-il expliqué. Harry Roselmack révèle que la production de Sept à Huit n’a aucunement insisté auprès de ses deux invités, et a entendu leurs réclamations : « On ne s’est même pas permis d’insister, parce qu’on avait conscience que les conséquences de la diffusion de ses déclarations seraient pour les personnes concernées et pour leur entourage compliquées à gérer« . Harry Roselmack a indiqué que les interviewes pouvaient durer « 30 minutes si les choses sont très fluides » mais pouvaient également « durer un peu ».

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