Les costumes confectionnés pour Mask Singer France ont du succès au point d’être copiés par les versions étrangères de l’émission.

Ce samedi 24 octobre 2020 au soir, TF1 diffuse le deuxième numéro de Mask Singer saison 2. L’occasion d’évoquer les incroyables costumes créés par les nombreux artisans qui travaillent d’arrache-pied dans l’ombre. Pour assurer un show digne de ce nom, les costumiers ne comptent pas les heures, quitte à faire "beaucoup de nuits blanches" ou encore à perdre du poids, comme c’était le cas pour Marie-France Larrouy, qui s’est occupée des déguisements du Loup, du Hibou, de l’Araignée, de la Pieuvre, du Manchot, des Perroquets et du Corbeau.

Au final, il a fallu 500 heures de travail en moyenne aux artisans travaillant pour les sociétés Multicréation et Moving Muppet pour donner vie à chaque personnage grandeur nature et jusqu’à 660 heures pour la réalisation du Dragon. Pour compenser tous ces efforts, la production n’a pas lésiné sur les moyens. Chaque costume a coûté en effet entre 20.000 et 40.000 euros. Le moins que l’on puisse dire est que les efforts de toutes les petites mains ont payé puisque les ateliers français ont été salués pour les costumes réalisés pour les stars lors de la première saison de l’émission. Grâce à la qualité de leurs créations, ils ont d’ailleurs été courtisés par plusieurs productions étrangères. Ils ont pourtant refusé les offres qu’on leur a proposé à l’international, pour continuer de collaborer avec le producteur de télévision français Hervé Hubert.

Des artisans qui ont reproduit des costumes à l’identique

Cela n’a pas empêché la version russe de Mask Singer de s’approprier un costume réalisé lors de la première saison, à savoir celui du cupcake, qui était porté par Natasha St-Pier. Jérôme Clauss, qui s’est chargé cette année de la confection du Squelette, du Dragon, du Requin, du Robot, de la Renarde et de la Bouche a accordé une interview à Télé Star. Il a ainsi révélé que "les Américains lui ont piqué le Robot et la Bouche". "Je vois ça comme un hommage", ajoute-t-il, fier du travail de ses équipes.

(Interview à retrouver ce lundi 26 octobre en kiosque et en version numérique)

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