Si 40 142 animaux ont été adoptés en 2021, trop d’abandons sont encore à déplorer dans l’Hexagone. Animaux à adopter, dimanche 20 mars à 19h35 sur C8, nous emmène à la découverte des activités du refuge de la SPA de Plaisir, dans les Yvelines.
Avez-vous passé des accords avec les différents refuges qui vous accueillent pour les tournages d’Animaux à adopter ?
Élodie Ageron : Nous n’avons pas vraiment d’accord. C’est une émission qui montre qu’il y a énormément d’animaux proposés à l’adoption. Ils attendent de trouver de nouveaux maîtres, une nouvelle famille, une nouvelle vie. Tous les bénévoles se battent au quotidien pour qu’ils reprennent confiance en eux et oublient leur passé. Avec des partages, des moments tendres, émouvants, de la tristesse mais également de la joie.
Une prochaine saison est-elle dans les tuyaux ?
C’est encore un peu tôt pour le dire, mais je sais que C8 souhaite continuer avec cette "marque" qui rencontre un grand succès depuis plusieurs saisons.
La question du bien-être animal s’est invitée dans la campagne électorale. Simple effet de mode ou prise de conscience ?
Les animaux ont aujourd’hui une vraie place au sein de la famille. Ils sont considérés comme des êtres vivants. Il est important de prendre en considération le bien-être qu’ils peuvent apporter aux personnes. C’est une prise de conscience. Ils peuvent changer une vie. Prendre soin d’eux est important car eux aussi prennent soin de nous en nous donnant de l’affection et de l’amour. Les animaux, c’est la pureté, ils n’ont rien demandé. Il faut juste apprendre à les connaître et à les respecter.
Votre parcours est atypique : vous avez travaillé dans le mannequinat, la restauration, la photographie… Comment êtes-vous venue au journalisme ?
Quand j’étais plus jeune, je me cherchais. J’ai toujours aimé les animaux mais devenir vétérinaire me paraissait trop compliqué. Je suis très sensible et je n’ai pas assez de force mentale pour supporter le malheur et la souffrance des animaux. J’admire les vétérinaires qui œuvrent et font tout pour les sauver. Ensuite, je voulais entrer rapidement dans la vie active, être autonome. J’ai donc fait des photos, des publicités, ainsi que des petits boulots. La restauration m’a beaucoup appris, par exemple rendre service.
Considérez-vous que travailler sur Direct 8, D8 puis C8 est un aboutissement ?
C’est la plus belle chose qui me soit arrivée : j’y ai rencontré Sandrine, qui est ma sœur de cœur. Je l’ai tout de suite appelée Sansan. Cela fait presque dix-sept ans que nous partageons tout.
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