PHOTOS. Vendredi 13 décembre, David Pujadas était invité sur le plateau de "Quotidien". Le présentateur est revenu sur les propos polémiques tenus par Julie Graziani, sur son plateau de LCI, début novembre dernier.
Yann Barthès recevait David Pujadas sur son plateau de Quotidien, vendredi 13 décembre. Le présentateur et producteur était venu présenter son nouveau documentaire intitulé "La Bataille de Notre-Dame", qui sera diffusé le lendemain samedi 14 décembre en début d’après-midi dans Grands Reportages sur TF1. Face à son invité, Yann Barthès lui a non seulement parlé de son dernier petit bijou journalistique, mais a aussi tenu à tenu à lui parler de ses invités sur son plateau de 24 Heures Pujadas sur LCI.
Après avoir évoqué la polémique d’Alain Finkielkraut survenue le 13 novembre dernier, Yann Barthès a tenu à évoquer les propos tenus par Julie Graziani, toujours son plateau de 24 Heures Pujadas sur LCI, le 4 novembre dernier. Celle qui était alors éditorialiste à la revue L’Incorrect, avait créé la polémique en s’exprimant sur une mère célibataire, qui avait rencontré Emmanuel Macron à Rouen. Refusant d’affirmer qu’il s’agissait d’un dérapage de la part de Julie Graziani, David Pujadas a lancé : "C’est une opinion qu’on peut trouver grotesque, ridicule. D’ailleurs elle-même je crois qu’elle s’est excusée", faisant référence à ses excuses quelques jours plus tard sur le plateau de CNews
David Pujadas : "Je ne sais pas si elle reviendra ou pas"
Sur le plateau de Quotidien, David Pujadas a ajouté que selon lui ce n’était pas à un appel à la haine, or pour lui un dérapage est justement un appel à la haine. "Là encore une fois, c’est une opinion un peu, peut-être, de comptoir, de bistrot. Mais elle est immédiatement contrée". Yann Barthès a ensuite voulu savoir si Julie Graziani reviendra sur le plateau de LCI. "Pour l’instant c’est elle qui a choisi de se retirer de l’antenne. […] Je ne sais pas si elle reviendra ou pas", a répondu l’ancien présentateur du 20h de France 2. "Moi je fais une une différence fondamentale entre ce type de propos, et les appels à la violence ou à la haine […] Oui on peut juger ses propos ridicules, grotesques ou abruptes. Mais attention à ne pas se dire : ‘Ce genre ne propos ne doit pas exister’. Voilà, je pense qu’il y a une nuance entre les deux", a souligné David Pujadas, pour mettre fin à la question de Yann Barthès. Voilà qui a le mérite d’être clair.
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