"Cyril Hanouna sera bien encore sur C8 à la rentrée prochaine" ! C’est ce que vient d’expliquer le directeur général de la chaîne, Franck Apietto dans une interview accordée aux Echos.
L’actuel contrat que Cyril Hanouna et sa boîte de production H20 ont signé avec le groupe Canal Plus – 250 millions d’euros sur cinq ans – va être reconduit ! L’animateur et producteur des programmes « Touche pas à mon poste », « Balance ton post » et « la Grande Darka » (entre autres) a le vent en poupe sur C8. Et la lune de miel n’est pas prête de se finir, comme le confirme son patron, directeur général de la chaîne, Franck Apietto aux Echos, ce 13 janvier.
« Cyril Hanouna sera bien encore sur C8 à la rentrée prochaine »
Ce dernier explique en effet que l’actuel contrat de Baba se terminera en juin prochain. Et tandis qu’une prolongation d’un an avait déjà été envisagée, le boss affirme qu’il « n’y a aucune inquiétude ». Et d’ajouter : « Cyril Hanouna sera bien encore sur C8 à la rentrée prochaine. Un nouveau contrat pluriannuel est en cours de négociation sans inflation ».
Cyril Hanouna ne sera donc pas augmenté, malgré les très bons scores que réalisent ses émissions et notamment sa quotidienne (âgée tout de même de 10 ans). En compétition avec Yann Barthès et « Quotidien », diffusée à la même heure sur TMC, l’équipe de TPMP se félicite de son endurance : « On est sans doute plus populaire, touchant la France dans ses grandes largeurs ».
D’autant que l’émission « affiche un coût de production d’environ 80.000 euros pour l’ensemble de l’émission » contre « 130.000 à 150.000 euros pour Quotidien » expliquent les Echos. Au final, les deux programmes seraient rentables selon nos confrères. Yann Barthès serait devant Cyril Hanouna avec « des recettes nettes moyennes de 275.000 euros par émission » (conte 200.000 euros pour TPMP).
« 50 millions par an, c’est un plafond. On verse moins à H2O chaque année »
Pour rappel, la dernière fois que Cyril Hanouna avait signé avec Vincent Bolloré (alors président du conseil de surveillance de Canal) c’était en 2015. Et ce n’était pas pour « 50 millions par an » précise aujourd’hui Franck Appietto. Et de corriger : « c’est un plafond. On verse moins à H2O chaque année ».
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