Le film Empire of the light réalisé par Sam Mendes sort le mercredi 1er mars au cinéma. Il se déroule dans une station balnéaire de l’Angleterre à l’époque de Margaret Thatcher, et raconte l’histoire d’Hillary, une quinquagénaire totalement dépressive qui veille sans passion sur un vieux cinéma. L’arrivée d’un jeune employé noir va bouleverser sa vie. Grâce à lui, elle va aimer de nouveau, et voir des films qui vont réenchanter son quotidien.
« Rendre hommage à la magie de la salle »
Une histoire inspirée au réalisateur par la maladie mentale de sa propre mère. Enfant, il trouvait refuge dans les salles de cinéma, dont il a toujours la nostalgie. « J’ai voulu rendre hommage à la magie de la salle : l’atmosphère, la pellicule, le projectionniste. Tous ces gens qui participaient à ce spectacle unique« , raconte Sam Mendes, réalisateur du film. Dans son film autobiographique intitulé The Fabelmans, Steven Spielberg se montre aussi nostalgique du 7e art. Si les cinéastes regardent autant dans le rétro, c’est que lors du confinement, les studios à l’arrêt et les salles fermées leur ont fait craindre le pire. Alors, au tour des réalisateurs d’imaginer un cinéma qui saura se réinventer.
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