Harcelée par une fan depuis 2013, Anaïs Camizuli a décidé de porter plainte. Alors que sa cyberharceleuse a partagé des photos de sa fille et révélé le nom de la crèche de la petite Kessi, l’ex-gagnante de Secret Story a fait de nouvelles révélations sur son procès.

Depuis sa sortie de la Maison des Secrets, en 2013, Anaïs Camizuli est harcelée par une fan qui la suit dans chacune de ses sorties publiques. Si la grande gagnante de Secret Story avait déjà porté plainte contre cette dernière en 2015 après qu’elle ait usurpé son identité, ce sont des menaces contre sa fille, Kessi, qui l’ont convaincu de porter plainte une nouvelle fois. Interrogée par La Provence, Anaïs Camizuli a expliqué : "Le cyberharcèlement est un fléau. Certains se sont suicidés à cause de cela. J’ai porté plainte et je suis là pour dire qu’il ne faut jamais laisser faire ces agissements. Certes, je suis un personnage public, mais je ne dévoile rien de ma vie privée. Je prends toujours soin de ne pas montrer le visage de ma fille."

Vendredi 22 janvier 2021, c’est dans sa story Instagram que la jeune maman avait expliqué : "Je ne sais pas si vous vous souvenez l’année dernière, au mois de février, je vous parlais d’une fille qui m’harcelait, qui menaçait ma fille, qui menaçait d’enlever ma fille enfin plein de trucs dans ce genre… Cette fille me harcèle depuis maintenant 7 ans. Donc j’ai décidé de porter plainte, ce n’est pas la première fois d’ailleurs et enfin, j’ai été écoutée par la police. La police a mené son enquête, la justice a fait son travail donc le procès a lieu aujourd’hui, je vois enfin le bout du tunnel." Inquiète, Anaïs Camizuli avait ajouté : "Pour être très honnête, je ne sais pas ce qu’il va se passer pendant ce procès, mais de savoir que la justice prend ce cyberharcèlement en compte ben ça me fait plaisir parce qu’il y a des gens qui se suicident à cause de ça et j’en ai marre de voir que certains se permettent tout et n’importe quoi derrière un iPhone et qui se sentent intouchables. Comme quoi, quand on veut, on peut les trouver. En tout cas moi, je ne lâcherai pas. Il est hors de question que qui que ce soit menace ma fille, menace d’enlever mon enfant. Cette personne qui me harcèle, a 37 ou 38 ans, donc ce n’est pas une petite jeune de 15/16 ans. Elle sait très bien ce qu’elle fait."

"Je n’en peux plus"

Le lendemain de ces déclarations, Anaïs Camizuli a révélé à ses abonnés que le procès avait finalement été reporté ! Et pour cause, l’accusée ne s’est pas présentée. En colère, la maman de Kessi a déclaré : "Je suis un peu dégoûtée parce que j’aurais aimé que ça se passe maintenant parce que ça fait sept ans que je me bats contre elle et que je n’en peux plus, d’un autre côté, je me dis elle a elle-même demandé une expertise psychiatrique donc elle assume qu’elle a un petit grain de folie, mais voilà comme d’habitude elle essaye de passer entre les mailles du filet, mais elle n’y arrivera pas. Je suis un peu dégoûtée parce que j’aurais aimé que ça se passe maintenant parce que ça fait sept ans que je me bats contre elle et que je n’en peux plus, d’un autre côté, je me dis elle a elle-même demandé une expertise psychiatrique donc elle assume qu’elle a un petit grain de folie, mais voilà comme d’habitude elle essaye de passer entre les mailles du filet, mais elle n’y arrivera pas."

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