Le Splendid a révélé toute une génération d’acteurs comiques qui ne cesse de nous faire rire depuis. Mais avant de goûter au succès, la troupe a connu des galères comme l’a confié Christian Clavier lors d’un entretien avec Nikos, ce samedi 21 décembre dans 50′ Inside.
Christian Clavier est décidément un homme très occupé. L’acteur est à l’affiche de Retour chez les Malawas, qui sortira mercredi 25 décembre. Un film qui se moque des émissions d’aventure avec des célébrités, comme Rendez-vous en terre inconnue de Frédéric Lopez, et dont le tournage a été pour le moins compliqué. Mais cette comédie n’est même pas encore sortie que l’acteur de 67 ans est déjà sur son nouveau projet, lui qui a confirmé sa présence dans l’adaptation cinématographique de Kaamelott, la série culte imaginée par Alexandre Astier.
Et dire que tout cela a commencé avec Le Splendid, la célèbre troupe de comédiens qui a fait connaître Christian Clavier, Thierry Lhermitte, Gérard Jugnot, Josianne Balasko, Michel Blanc, Marie-Anne Chazel… Mais avant de nous faire mourir de rire avec les hilarants Le Père Noël est un ordure ou Les bronzés, les jeunes comédiens ont connu des débuts difficiles. Interview par Nikos dans le numéro de 50′ Inside diffusé ce samedi 21 décembre sur TF1, Christian Clavier est revenu sur leurs premières années de galère : « Je ne peux pas dire qu’on ait galéré mais… On avait un café-théâtre et on gagnait extrêmement peu d’argent. Donc, on faisait tous des pubs, on faisait des castings. »
Ces débuts ont été tellement compliqué que leur vocation d’artiste n’a pas plu à tout le monde : « Nos parents, ils étaient catastrophés. On avait tous à peu près la capacité de faire des études et le seul métier qu’on choisit, c’est le métier où à l’époque il y a du chômage. On est en plein emploi sur le reste. Donc tu vois leur tête ! » Depuis, les membres du Splendid ont fait leur petit bout de chemin. Mais ils sont restés une bande de potes qui ne perdent pas une occasion de tourner de nouveau ensemble : « On aime se retrouver. Là, je viens de terminer un tournage ou Thierry participe aussi. C’est un vrai plaisir. Et alors, là, on s’accorde en trois secondes. C’est incroyable. Il y a quelque chose entre nous de l’ordre d’une famille d’un goût artistique commun ». Une famille qui pourrait bientôt se reformer ?
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