365 jours a fait sensation sur Netflix ! S’il a divisé la toile, beaucoup de spectateurs ont été bluffés par le réalisme des scènes érotiques. D’ailleurs, comment ça s’est passé en off ?

Dès sa sortie, le film érotique 365 jours sur Netflix a divisé la toile pour de multiples raisons. Si beaucoup de spectateurs n’ont pas apprécié la relation controversée de Massimo et de Laura, la plupart restent tout de même bluffés par le réalisme des scènes de sexe. Massimo (Michele Morrone) et Laura (Anna Maria Sieklucka) ont-ils vraiment simulé ? Bien que ça puisse en décevoir certains, oui, aucun rapport sexuel n’a eu lieu sur le tournage, et c’est l’interprète du Sicilien mafieux qui l’a confirmé en personne. Néanmoins, Bartek Cierlica, le chef opérateur des prises de vue, a révélé à Variety comment se déroulait un tournage d’une telle envergure en coulisses. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est du sport !

Par rapport à la scène dans laquelle Massimo attache Laura à un lit, certains spectateurs la trouvent malsaine car on sent la peur dans les yeux de la jeune femme. Bartek Cierlica explique avoir seulement voulu montrer la tension montante entre les deux héros : « Nous voulions que le spectateur participe au jeu dans lequel Laura s’engageait avec Massimo, et qu’il découvre sa sexualité avec elle ». Néanmoins, on se demande tout de même comment des scènes si hot sont tournées en coulisses. Le secret pour Bartek Cierlica, c’est de se rendre le plus invisible possible au moment où les deux acteurs entrent en scène : « Nous voulions que la caméra soit aussi invisible que possible, pour les laisser faire le travail, donc en effet les prises étaient très, très longues. Nous avons créé l’atmosphère la plus intime possible pour les acteurs. Nous avons fait en sorte de réduire le personnel au maximum sur le bateau ».

Ce qui comptait vraiment pour la réalisatrice et lui-même, c’est que le sexe paraisse authentique : « Nous voulions que le spectateur entende leurs chuchotements, leurs respirations et nous voulions montrer la sueur, la passion. On voulait un résultat naturel, authentique, mais sans franchir la frontière de la pornographie ». Et c’est un pari réussi ! Bartek Cierlica et la réalisatrice voulaient rester fidèles aux livres, en intégrant des scènes sensuelles et chaudes, sans que ça paraisse vulgaire ou démesuré. À l’instar de 50 shades of grey, l’histoire de Massimo et de Laura se poursuit dans deux autres livres, de quoi imaginer que 365 jours puisse obtenir une suite, sur Netflix ou au cinéma !

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