Après deux albums studio acclamés et deux acoustiques en cinq ans, l’ancien enfant terrible du rock anglais a enfin digéré l’époque Oasis. À propos de ce troisième album solo, Liam Gallagher l’assure : « Ça ne parle pas spécifiquement de la pandémie, il y a toujours des merdes dans le monde. On ne voulait pas revenir avec un album ‘mou du genou’. On s’est dit que quand on aurait le droit de rejouer, on irait à fond en s’amusant. »

Alors le Mancunien, bientôt cinquante ans, a fait ce qu’il sait faire de mieux : chanter, occuper toute la place, remisant même les quelques chansons douces qu’il avait écrites. « Avec cette histoire de pandémie, tout le monde est devenu plus tendre. On avait de belles chansons sous le coude, mais plus ça avançait plus je me disais : je vais revenir avec un putain d’album qui déchire, c’est parti pour la fête ! »

Pour autant, la rockstar revenue au sommet des ventes a poli sa production, invitant un confrère estimé, Dave Grohl. Et Liam Gallagher clame son amour de la France : « J’ai dû être Parisien dans une autre vie : je capte tout quand je marche dans les rues, et à chaque fois je me dis ‘cet endroit est familier’. » 

Retour à Knebworth

Vingt-six ans après les légendaires concerts d’Oasis à Knebworth, Liam Gallagher s’y produira deux fois, la semaine prochaine. Deux concerts gigantesques, les plus gros d’une carrière solo qui ne cesse de redécoller. Liam Gallagher sera également dans plusieurs festivals cet été en France : le Vyv Festival à Dijon, le Cognac Blues Passion, Beauregard et le Cabaret Vert à Charleville-Mézières.

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