Lors de son passage au « Grand Rendez-vous » d’Europe 1/CNews/Les Échos, la candidate des Républicains à l’élection présidentielle, Valérie Pécresse, est revenue sur son débat du 10 Mars avec Éric Zemmour.
Si elle a présenté un certain nombre de mesures de son programme, Valérie Pécresse, la candidate des Républicains (LR) à l’élection présidentielle, a aussi tenu à expliquer pourquoi elle souhaitait débattre avec Éric Zemmour et Marine Le Pen. « Je pense qu’aujourd’hui, il faut aller déconstruire les extrêmes », a-t-elle expliqué au « Grand Rendez-vous » d’Europe 1/CNews/Les Échos, avant d’ajouter « que leur projet amènera le pays à l’impuissance et surtout à la faillite économique ». Revenant alors sur son débat du 10 mars avec Éric Zemmour, qualifié par certains de foire d’empoigne, la présidente de la Région Île-de-France a indiqué qu’ « Éric Zemmour n’a pas l’habitude qu’on lui résiste ». Très tendu, voire explosif, ce débat a vu la candidate LR prendre l’ascendant sur son adversaire petit à petit. « Débateur très violent, il envoie des torrents de boue sur son adversaire », a-t-elle même spécifié, avant de conclure : « Il n’était pas question que je me laisse faire ».
Une véritable confiance en elle
Sa mise au point effectuée sur le ton du débat, Valérie Pécresse en a profité pour revenir sur certains points de celui-ci. « Je pense que j’ai démasqué sa complaisance vis-à-vis de Vladimir Poutine, ses erreurs vis-à-vis de l’Otan et ses erreurs vis-à-vis de l’Europe », détaille-t-elle. Elle s’est aussi exprimée sur l’immigration : « C’est moi qui aie les bonnes solutions. Parce que l’immigration zéro, cela n’existe pas », précisant qu’Éric Zemmour a même été obligé de le reconnaître.
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : screenshot – CNEWS
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