Les 15 et 22 mars se tiendront les élections municipales dans toute la France. Un scrutin qui sera regardé de près par la majorité présidentielle. Plusieurs têtes d’affiche jouent gros quand d’autres se lancent dans le grand bain. C’est le cas de la chanteuse Stone !

À chaque élection, les votants ont droit à des surprises sur les listes. Les people se lancent régulièrement – avec plus ou moins de succès – dans le bain de la politique. Dernière en date : Annie Gautrat, alias la chanteuse Stone. Elle est candidate aux municipales.

C’est le site La Montagne qui révèle cette information, indiquant qu’elle « figurera sur la liste de Fernand Spaccaferri (UDI) aux prochaines élections municipales de Commentry [dans le département de l’Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes, NDLR] où elle possède une maison de famille« . Pour l’heure, sa position sur la liste n’a pas encore été déterminée. Avec un peu de chance, la star se trouvera en position éligible pour devenir conseillère municipale.

« J’ai notamment interdit la présence d’animaux sauvages pour les cirques qui viennent dans la commune. J’ai fait aussi une campagne de stérilisation des chats, ce qu’elle fait également de son côté. Je lui ai également fait part de ma volonté d’agrandir l’Agora, la salle de spectacles. Elle est évidemment sensible à ce qu’on accueille les artistes dans de bonnes conditions« , a fait savoir le maire pour justifier la présence de Stone à ses côtés, alors qu’on ne lui connaissait pas d’engagement politique jusque-là.

Selon les informations de La Montagne, Stone (72 ans) possède une maison « dans la cité minière« . Un héritage familial qui remonte à 1901 ! « Moi, j’ai passé toutes mes vacances ici, c’était la maison du bonheur !« , a déclaré l’interprète des tubes Made in Normandie et L’Avventura, qu’elle a popularisés au temps de son duo avec Charden. La chanteuse ne se lance pas seule dans cette aventure puisque son mari, Mario d’Alba, sera sur la même liste électorale !

Pour rappel, les municipales se tiendront les 15 et 22 mars. Ce sera notamment un test pour le parti présidentiel, LaREM, secoué par la crise des Gilets jaunes, puis par les grèves entourant la décriée réforme des retraites ou encore pointé du doigt par sa gestion des violences policières.

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