Découvrez ces habitudes que vous avez peut-être et qui participent à la pollution de l’air dans votre maison. De la cuisson au type d’aliments, on vous dit tout.

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Saviez-vous que la qualité de l’air qu’on respire est souvent plus mauvaise à l’intérieur qu’à l’extérieur ? Elle se détériore aisément dans nos maisons parce qu’on y vit, mais aussi parce que nous n’appliquons pas toujours les gestes nécessaires pour y remédier. Parmi nos activités qui augmentent le taux d’humidité dans les pièces : faire du sport, faire des travaux, prendre une douche et faire la cuisine. La cuisson des aliments participe activement à la pollution, au même titre que les appareils utilisés et les aliments préparés. La marque Dyson vous explique comment cela se produit et comment y remédier.

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Les appareils de cuisson polluent l’air intérieur

Selon que vous utilisiez des plaques à induction ou à gaz, le niveau de pollution de l’air est variable dans votre intérieur. Le dioxyde d’azote est présent à des taux plus élevés dans les foyers qui possèdent un système de cuisson à gaz. Comme le rapporte Dyson, « Le processus de combustion libère des particules ultrafines, qui comprennent des gouttelettes d’huile, de la vapeur d’eau de cuisson, » etc. Cela ne veut pas dire que les plaques électrique ne polluent pas, leur impact est simplement moindre. Le four participe aussi à la pollution de l’air intérieur, « en particulier les versions autonettoyantes« . Pour limiter l’impact de ces appareils sur la qualité de l’air, les ingénieurs de la marque préconisent de bien prendre soin de son électroménager. Veillez à ce qu’ils soient bien installés, ventilés, nettoyés et globalement entretenus en permanence. Pensez aussi à aérer si possible lorsque vous faites la cuisine pour réduire la formation de vapeurs dans la pièce.

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Les méthodes de cuisson polluent l’air intérieur

Selon la manière dont vous décidez de cuire vos aliments, vous n’avez pas le même impact sur la qualité de l’air. « La cuisson à base d’huile, comme le grillage et la friture des aliments, est généralement plus nocive pour l’environnement car elle produit plus de particules fines » et libère des toxines au cours du procédé. Une étude menée par la marque à Paris a d’ailleurs démontré que le niveau de pollution atmosphérique est plus élevé aux heures communes de repas. Les experts recommandent d’opter autant que possible pour des méthodes cuisson à l’eau (vapeur, ébullition) qui sont moins nocives et donc moins polluantes. En plus d’être meilleures pour la santé.

Quels types d’aliments polluent le plus ?

Sans grande surprise : plus vous cuisinez gras, plus vous polluez. Les aliments gras libèrent plus de polluants au contact de la chaleur. L’huile de cuisson a particulièrement été épinglée par la marque puisqu’en fonction du type utilisé, les effets varient. Plus l’huile supporte les fortes chaleurs, moins elle libère de polluants. À l’inverse, l’huile d’olive « est l’un des pires coupables [puisqu’elle] libère la plus forte concentration de particules fines« . Pour Joe Croan, chef cuisinier chez Dyson, « de simples changements de routine, comme le type et la quantité d’huile que vous utilisez pour cuisiner, peuvent avoir un impact positif dans la cuisine« .

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