«Play», en salle depuis le 1er janvier 2020, retrace la vie d’un groupe d’amis du début des années 1990 à aujourd’hui. Invités d’NRJ, Max Boublil et Arthur Périer, au casting du film, se sont prêtés au jeu du quiz «C’était mieux avant….». Découvrez leurs réponses, un brin nostalgiques…

Max Boublil et Arthur Périer interprètent deux amis d’enfance dans le film «Play», d’Anthony Marciano, en salle depuis le 1er janvier 2020. Invités d’NRJ à l’occasion de la sortie du film, les deux complices se sont prêtés au jeu du «C’était mieux avant…».

La relation avec les potes, c’était mieux avant? «Oui! Parce que je travaillais moins», répond du tac au tac Arthur Périer avant d’ajouter: «Là on est en train de se rendre compte que je suis très seul et très triste…».

En ce qui concerne les rencontres amoureuses à l’heure des applications «Tinder et Instagram», cite Max Boublil, le coscénariste du film défend l’ère du digital: «Tu peux rencontrer plus facilement maintenant (…) Avant il fallait appeler, tomber sur la mère, qui te passait la fille, demander de parler à la fille tout ça…»

Max Boublil: les films étaient «plus cultes à l’époque»

«C’est mieux aujourd’hui, parce qu’avant on pouvait fumer en boîte», souligne Arthur Périer lorsqu’on lui demande son avis sur les sorties en boîte de nuit, tandis que pour Max c’est tout le contraire: «Aujourd’hui ça sent un peu le sel quoi en boîte! Ça sent la sueur, ça sent le travail, et le parfum de mauvaise qualité. C’était mieux avant les boîtes».

En ce qui concerne la fête du Nouvel An: «Ça a toujours été une fête de merde le nouvel an» répond implacable Max Boublil, «c’est soit t’as trouvé une bonne teuf, soit t’as trouvé la teuf ’emmerde’  qui va jamais vraiment décoller», nuance Arthur.

Pour les films, Max Boublil regrette le temps où les films avaient une place plus importante: «Franchement il y a des films des années 90 qui sont cultes. J’ai l’impression que les films sont plus cultes à l’époque c’est-à-dire que c’était plus important un film, aujourd’hui, ça passe un peu plus vite, on accorde moins d’importance à un film c’est moins un événement».

Enfin, la Coupe du Monde de football: «C’était mieux en 98, déclare Max Boublil qui regrette la rapidité des émotions, Il y a avait un truc qui restait plus longtemps, c’est-à-dire qu’il y avait un truc ‘black-blanc-beurre’ qui est resté. Enfin c’était l’antiracisme qui en a découlé. C’est resté longtemps après. J’ai l’impression que c’était plus solide qu’aujourd’hui. Aujourd’hui voilà, il y a eu la Coupe du Monde et puis on était hyper heureux et puis c’est passé plus vite.»

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