Clap de fin pour la deuxième édition du Think Tank Marie Claire : Agir pour l’Egalité. L’année écoulée, riche en échanges et idées, a permis la rédaction de 100 propositions sous la forme d’un Livre Blanc remis aux pouvoirs publics et aux grandes entreprises. Ce sont bien les causes communes pour l’égalité hommes-femmes et contre les discriminations qui ont une nouvelle fois rassemblé les acteurs et actrices du public, comme du privé.

Invitée à s’exprimer en ouverture de la session de clôture qui s’est tenue à huis clos le 16 septembre, contexte sanitaire oblige, la ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances, Élisabeth Moreno a regretté la lenteur de certaines évolutions dans la société, notamment en termes d’inégalités, et a appelé à déconstruire les clichés et les stéréotypes vis-à-vis des femmes et des minorités. Pour le monde de l’entreprise, dit-elle, cela suppose « un management innovant, éclairé, d’équité et d’efficacité », car « trop longtemps marginalisées, les femmes doivent trouver un statut non pas identique mais symétrique. »

Une position « en phase », selon ses propres mots, avec les 100 propositions qui ont pu émerger de cette année de travail collectif autour des thématiques telles que la santé, la mobilité, l’emploi ou encore la lutte contre les violences faites aux femmes. Car il y a urgence : en 2020, 86 % des PDG des grandes entreprises mondiales sont des hommes ; 87 % des femmes en France ont été victimes d’une forme de harcèlement dans les transports publics ; 146 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-conjoint en 2019 ; 94 000 femmes majeures ont été victimes de viol ou tentatives de viol ; zéro, c’est le nombre de femmes dirigeantes du CAC40.

Lutter contre les stéréotypes

Il ne fait plus aucun doute : la lutte contre les stéréotypes doit devenir une priorité, dès le plus jeune âge. Tous les invités des sessions de clôture du Think Tank se sont rejoints sur cet enjeu dans tous les domaines et toutes les strates de la société. Comme l’a souligné Gwenaelle Avice-Huet, directrice générale adjointe du groupe Engie et directrice générale Engie Amérique du Nord, « les femmes sont écartées par des biais inconscients, parce qu’on a des référentiels déconnectés de la réalité ». Des solutions existent et passent par la pédagogie. Chez Salesforce, par exemple, Olivier Derrien, directeur général Salesforce France explique que tous les salariés ont l’obligation de suivre un parcours de formation sur l’égalité et la découverte de ces biais.

Les femmes sont écartées par des biais inconscients, parce qu’on a des référentiels déconnectés de la réalité

Philippe Zaouati, directeur général de Mirova, en est conscient : « Quand on oublie 50% de sa population, on est forcément moins performant. » Il exhorte alors à investir dans les entreprises dans lesquelles les femmes occupent des rôles de dirigeantes. « Sinon, dit-il, à ce rythme-là selon les chiffres du World Economic Forum, il faudra 257 ans pour combler les écarts. » Il parle ici de l’écart salarial entre les hommes et les femmes ; les femmes touchent selon l’INSEE 18,5% de moins que les hommes en France. De son côté, Julie Ranty, managing directrice de VivaTech incite elle aussi à « changer les critères et la culture d’investissement » et propose de « mapper les start-ups avec les femmes à leur tête pour les soutenir ». Des objectifs auxquels s’associent Thierry Mallet, PDG du groupe Transdev, qui reconnaît que « la force d’une entreprise se trouve dans la différence, en termes de genre, de culture ou encore d’expérience ».

En mettant en avant de nouveaux modèles, certains métiers et secteurs ont vocation à s’enrichir de plus de diversité. Les représentations des femmes, principalement dans la pub et les médias, ont leur rôle à jouer. Laura Boulet, Directrice Générale Adjointe, Affaires publiques et développement, Union des Marques, se veut confiante : « La pub fait son mea culpa depuis longtemps, avec l’évolution de la société, sur les stéréotypes sexuels et sexués. Nous avons développé un outil pour aider les marques à faire un screaning des représentations pour les faire évoluer, pour ne pas les mettre dans des rôles de consommatrice passive mais aussi d’experte. » Comme l’a noté Valérie Faillat-Proux, déléguée générale de la fondation Sanofi Espoir lors de la table ronde « Agir pour l’égalité des femmes dans la santé », le but est bien de « pousser les femmes à sortir de l’ombre ».

En réunissant la qualité de vie au travail, la représentativité (au moins 33% de femmes dans l’organisation), une expérience collaborative positive et des pratiques proactives en matière d’égalité, Julien Brezun, directeur général de Great Place to Work, et son équipe ont ainsi établi le palmarès des « Best Workplaces for Women 2020 ». Parmi les lauréats des meilleurs lieux de travail pour les femmes en 2020, on retrouve le groupe AXA, partenaire du Think Tank et représenté lors des tables rondes par Jacques de Peretti, PDG, et Ulrike Decoene, directrice de la communication de la marque et de la responsabilité d’Entreprise.

Agir pour l’émancipation des femmes

Depuis quelques années, le concept de « charge mentale » a permis de prendre conscience que « le manque de temps était un obstacle à l’activité physique, au fait de prendre soin de soi et de son bien-être », a tenu à mettre en avant Yannick Hnatkow, directrice générale France de WW. Mais d’autres facteurs continuent d’entraver l’émancipation des femmes, notamment l’autonomie financière.

Lors de la table « Agir pour renforcer l’autonomie financière des femmes » – à laquelle étaient présents David Mahé, administrateur Syntec Conseil, Jacques de Peretti, Me Carine Denoit-Benteux ou encore Olga Trostiansky, présidente et fondatrice du Laboratoire de l’Egalité – Guillaume Richard, PDG et fondateur de Oui Care, a expliqué la position de son groupe, leader du service à la personne et employant 94% de femmes : « Quand je travaille au noir, je n’ai aucune fiche de paye, ça veut dire que je ne peux pas louer, emprunter, je ne peux pas partir si ça se passe mal. On maintient dans la précarité des personnes qui n’ont plus cette autonomie financière. Si vous avez une autonomie financière, vous avez la liberté. » C’est pourquoi le groupe a créé un fonds d’aide, présenté par Virginie Calmels, présidente du conseil stratégique, pour permettre aux salariées de prendre leur indépendance. Une trentaine ont déjà pu en bénéficier.

Il s’agit aussi de sortir de la culpabilité portée par les femmes d’assurer à la fois dans la vie professionnelle et personnelle. Maître Carine Denoit-Benteux, avocate au Barreau de Paris, encourage de ce point de vue à « faire sauter les obstacles » : « Il y a dix ans, j’étais la plus jeune femme du conseil de l’ordre. J’ai eu beaucoup de difficulté pour encourager les femmes à prendre le devant de la scène. » Outre la nécessité d’adapter les horaires ou de favoriser le télétravail (dans certaines conditions), la proposition numéro 9 du Livre Blanc avec l’implémentation d’un congé paternité a largement fait l’unanimité « pour ne pas pénaliser les femmes dans leur carrière ».

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Autre facteur important de liberté : la mobilité.

Selon Véronique Haché, économiste des transports, « les transports ne sont pas conçus pour les femmes. » L’objectif est donc de proposer des services sûrs et des offres adéquates à des parcours complexes entre travail, école et courses, comme l’ont affirmé Sandrine Charnoz, cheffe de projet de la lutte contre le harcèlement dans les transports au sein du groupe RATP et Elisabeth Oger, directrice client de Transdev. D’autant que les femmes représentent la majorité de la clientèle des transports en commun mais sont aussi les premières victimes de violences. Les partenaires du Think Tank sont engagés sur ces questions, à l’image de L’Oréal Paris qui a déployé la campagne Stand Up (standup-France.com). « Nous avons développé une méthodologie pour apprendre les bons réflexes en cas de harcèlement ou d’agression, explique Sophie Le Corre, directrice communication et advocacy. Si on est témoin, on doit être capable d’intervenir. C’est une problématique au sens large de la sécurité dans les lieux publics »

Marie-Pierre Badré, conseillère régionale déléguée spéciale auprès de la présidente de la Région Île-de-France sur l’égalité femmes-hommes et présidente du Centre Hubertine Auclair, suggère la conception d’appels d’offre avec des critères genrés : « Rien ne s’est fait en matière d’égalité de genre sans le passage de la loi. Il n’y a pas de dynamique volontariste. »

Les quotas au cœur des débats

Justement, faut-il en passer par les quotas réglementés pour garantir l’égalité femmes-hommes ? Si la féminisation du leadership est en cours, le chemin semble très lent et très long. Si des batailles ont été remportées, disent certaines voix, c’est grâce aux quotas. D’autres, au contraire, s’y opposent, arguant le principe d’égalité et de non-discrimination. Pour Isabelle Vitali, directrice du centre d’innovation digitale de Sanofi, par exemple : « Il faut des quotas et avoir la transparence de les partager. »

Ce débat a traversé toutes les tables rondes et a surtout fait l’objet d’un mini procès avec comme présidente de séance Maître Michèle Anahory, avocate du barreau de Paris ; Maître Christian Saint-Palais, avocat pénaliste et président de l’association des avocats pénalistes pour la négative ; Maître Christiane Féral-Schuhl, présidente du Conseil National des Barreaux (CNB) pour la positive. Chacun leur tour, les avocats ont défendu leur position.

Au départ, il y a la loi Copé-Zimmerman, votée en 2011, obligeant les conseils d’administration des entreprises de 500 salariés avec un CA de 50 millions d’euros à compter 40% de femmes dans leur CA au 1er janvier 2017. Faudrait-il élargir le champ de cette loi ? A-t-elle été efficace ? La réponse est oui, pour la présidente du CNB, car, dit-elle, « les femmes n’ont pas droit à l’incompétence, elles ont droit aux quotas ». En effet, « il faut être ultra compétente pour être recrutée, cooptée, investie, par ceux qui dictent le niveau de compétence qu’il faut avoir », alors, « les quotas sont de fait un antidote à l’incompétence possible des hommes ». Elle répond ainsi à Maître Saint-Palais qui s’inquiète, de son côté, de « remplacer des compétents par des incompétentes » en mettant en place des seuils : « Je pense à ces hommes, jeunes garçons qui n’auront pas ménagé leurs efforts qui se verraient refuser un poste. »

 Les femmes n’ont pas droit à l’incompétence, elles ont droit aux quotas

Selon Maître Féral-Schuhl, cependant, les quotas permettent de « rétablir un équilibre, protègent la décision face à la tentation de l’entre-soi, de la vision uniforme du monde ». Elle prend pour exemple l’Assemblée Nationale (AN) : « Il a fallu des quotas pour que l’AN accepte de faire une place à la moitié féminine de ce même peuple. Sans quota, poursuit-elle, on ne s’étonnerait même pas que le conseil actuel de défense ne soit quasiment composé que d’hommes. Sans quota, on trouvera normal qu’un média ne cite que des hommes comme personnalités d’avenir. »

Il est vrai, concède-t-elle, que « des femmes n’ont pas attendu les quotas » et que l’on peut évoquer certaines icônes et symboles du féminisme, « mais derrière il y a la grande masse de femmes qui ont été empêchées ». Preuve en est, sur les plateaux télé, la très faible représentativité des femmes parmi les experts invités à analyser les crises que nous traversons. Une faille reconnue aussi bien par Catherine Alvaresse, directrice des documentaires chez France TV que par Emmanuel Kessler, PDG de Public Sénat lors de la table ronde : « Comment construire une société inclusive et respectueuse ? ». Céline Calvez, députée en charge du rapport sur la place des femmes dans les médias en période de crise l’affirment : « Oui, il faut compter pour favoriser la prise de conscience et pour objectiver. Sans les quotas, je ne serais pas députée. »

Dans cet engagement pour l’égalité femmes-hommes, le climat incertain pousse les invités du Think Tank Marie Claire à ne rien lâcher. La citation de Simone de Beauvoir, prononcée par Valérie Hoffenberg, présidente du Connecting Leaders Club, a résonné comme un avertissement entendu par tous et toutes : « N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant. »

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 cocktail en présence d’Elisabeth Moreno, le 15 septembre 2020

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 cocktail en présence d’Elisabeth Moreno, le 15 septembre 2020

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

Elisabeth Moreno, Ministre déléguée chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances

Gwenaelle Thebault, Directrice générale déléguée du groupe Marie Claire

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Elisabeth Moreno, Ministre déléguée chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances.

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Maître Christian Saint-Palais, Avocat pénaliste et Président de l’Association des Avocats Pénalistes.

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Jullien Brezun, Directeur général et Tiphaine Galliez, Innovation & Knowledge manager de Great Place to Work France

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

De gauche à droite :

Gwenaelle Thebault, Directrice générale déléguée du Groupe Marie Claire

Virginie Calmels, Présidente du Conseil Stratégique du groupe Oui Care et Présidente d’honneur du fonds de solidarité Oui Care

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

De gauche à droite :

Gwenaelle Thebault, Directrice générale déléguée du Groupe Marie Claire

Jullien Brezun, Directeur général de Great Place to Work France

Tiphaine Galliez, Innovation & Knowledge Manager de Great Place to Work France

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Notre table ronde  » Agir pour l’égalité des femmes dans la santé « 

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Maître Michèle Anahory, avocate au barreau de Paris

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Notre table ronde  » Agir pour renforcer la présence des femmes dans le secteur de la Tech « 

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

De gauche à droite :

Gwenaelle Thebault, Directrice générale déléguée du Groupe Marie Claire

Olivier Derrien, Directeur général de Salesforce France

Gwenaëlle Avice-Huet, Directrice Générale Adjointe Groupe Engie et Directrice Générale Engie Amérique du Nord 

Thierry Mallet, Président Directeur général de Transdev

Philippe Zaouati, Directeur général de Mirova (filiale de Natixis)

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Notre table ronde  » Agir pour l’égalité des femmes dans la santé « 

De gauche à droite :

Ghada Hatem,Gynécologue et fondatrice de la Maison des Femmes de Saint-Denis

Yannick Hnatkow, Directrice générale France de WW (Anciennement Weight Watchers)

Ulrike Decoene, Directrice de la communication de la marque et de la responsabilité d’Entreprise du Groupe AXA

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Notre table ronde  » Agir pour l’égalité des femmes dans la santé « 

De gauche à droite :

Claudine Junien, Professeure émérite de génétique

Ghada Hatem,Gynécologue et fondatrice de la Maison des Femmes de Saint-Denis

Yannick Hnatkow, Directrice générale France de WW (Anciennement Weight Watchers)

Ulrike Decoene, Directrice de la communication de la marque et de la responsabilité d’Entreprise du Groupe AXA

Laurence Dorlhac, Chroniqueuse France Télévisions

Valérie Faillat, Déléguée générale de la Fondation Sanofi Espoir

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

De gauche à droite :

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

Nadi Bou Hanna, Directeur interministériel du numérique

Isabelle Vitali, Directrice du centre d’innovation digitale de Sanofi

Sophie Viger, Directrice de l’Ecole 42

Delphine Remy-Boutang, CEO The Bureau et Présidente de la Journée de la Femme Digitale

Julie Ranty, Managing Directrice de VivaTech

Olivier Derrien, Directeur général de Salesforce France

Gwenaelle Thebault, Directrice générale déléguée du Groupe Marie Claire

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

De gauche à droite :

Catherine Morin, Directrice Marketing du Groupe Marie Claire

Laura Boulet, Directrice générale adjointe, affaires publiques et développement de l’Union des Marques

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

De gauche à droite :

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

Laurence Dorlhac, Chroniqueuse France Télévisions

Yannick Hnatkow, Directrice générale France de WW (Anciennement Weight Watchers)

Ghada Hatem,Gynécologue et fondatrice de la Maison des Femmes de Saint-Denis

Claudine Junien, Professeure émérite de génétique

Ulrike Decoene, Directrice de la communication de la marque et de la responsabilité d’Entreprise du Groupe AXA

Gwenaelle Thebault, Directrice générale déléguée du groupe Marie Claire

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Notre table ronde  » Comment réinventer le leadership pour une entreprise plus inclusive et égalitaire ? « 

De gauche à droite :

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

Thierry Mallet, Président Directeur général de Transdev

Gwenaelle Avice-Huet, Directrice Générale Adjointe Groupe Engie et Directrice Générale ENGIE Amérique du Nord 

Philippe Zaouati, Directeur général de Mirova (filiale de Natixis)

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Notre table ronde  » Agir contre les violences faites aux femmes « 

En présence de :

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

Virginie Calmels, Présidente du Conseil Stratégique du groupe Oui Care et Présidente d’honneur du fonds de solidarité Oui Care

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Sandrine Sarroche, humoriste et Katell Pouliquen, Directrice des rédactions de Marie Claire

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Notre table ronde  » Agir pour renforcer l’autonomie financière des femmes « 

De gauche à droite :

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

Jacques de Peretti, Président Directeur général d’AXA France

Guillaume Richard, Président et fondateur du groupe Oui Care

David Mahé, Administrateur de Syntec Conseil

Olga Trostiansky, Présidente et fondatrice du Laboratoire de l’Égalité

Maître Carine Denoit Benteux, Avocate au barreau de Paris

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Sandrine Sarroche, humoriste

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

De gauche à droite :

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

Jacques de Peretti, Président Directeur général d’AXA France

Maître Carine Denoit Benteux, Avocate au barreau de Paris

David Mahé, Administrateur de Syntec Conseil

Olga Trostiansky, Présidente et fondatrice du Laboratoire de l’Égalité

Guillaume Richard, Président et fondateur du groupe Oui Care

Gwenaelle Thebault, Directrice générale déléguée du groupe Marie Claire

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

De gauche à droite :

Gwenaelle Thebault, Directrice générale déléguée du groupe Marie Claire

Sophie Le Corre, Directrice Communication & Advocacy L’Oréal Paris

Véronique Haché, Economiste des Transports, experte Mobilité Durable

Sandrine Charnoz, Cheffe de projet de la lutte contre le harcèlement dans les transports au sein du groupe RATP, Conseillère à la Mairie de Paris

Elisabeth Oger, Directrice client Transdev

Marie-Pierre Badré, Conseillère régionale déléguée spéciale auprès de la Présidente de la Région IDF sur l’égalité femmes-hommes, présidente du Centre Hubertine Auclert

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Notre table ronde  » Agir pour renforcer la présence des femmes dans le secteur de la Tech « 

L’Appel pour l’Egalité, édition 2019-2020 à l’Unesco, le 16 septembre 2020

Notre table ronde  » Agir pour lutter contre les stéréotypes dans les médias et la culture « .

De gauche à droite :

Valérie Hoffenberg, Présidente du Connecting Leaders Club

Emmanuel Kessler, Président directeur général de Public Sénat

Céline Calvez, Députée en charge du rapport sur la place des femmes dans les médias en période de crise

Laurence Bachmann, Directrice générale du groupe Telfrance, présidente de PFDM et productrice

Catherine Alvaresse, Directrice des documentaires France Télévisions 

Katell Pouliquen, Directrice des rédactions de Marie Claire

Laura Boulet, Directrice générale adjointe, affaires publiques et développement de l’Union des Marques

Gwenaelle Thebault, Directrice générale déléguée du groupe Marie Claire

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