« Je veux qu’elle sache que c’était moi ». La bande-annonce de la saison 5 de Handmaid’s tale s’ouvre sur une déclaration de guerre très personnelle. Celle que June (Elizabeth Moss) lance à Serena (Yvonne Strahovski), la femme de Fred (Joseph Fiennes), le commandant de Gilead que l’ancienne servante a assassiné à la fin de la saison 4. Et si le message n’était pas assez clair, la bande-annonce se conclut avec ces mots de June en voix off : « Tu veux te battre ? Allons-y. »

Illustration

L‘accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur « J‘ACCEPTE », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires

Et pour mieux rémunérer 20 Minutes, n’hésitez pas à accepter tous les cookies, même pour un jour uniquement, via notre bouton « J‘accepte pour aujourd‘hui » dans le bandeau ci-dessous.

Plus d’informations sur la page Politique de gestion des cookies.

Après une saison 4 palpitante, la saison 5 de la série créée par Bruce Miller promet de l’action. Désormais réfugiée au Canada, June, tente, avec l’aide de son mari Luke et son amie Moira, ancienne servante comme elle, de lutter contre Gilead à distance. Au sein de Gilead, le commandant Lawrence (Bradley Whitford) s’allie à une Tante Lydia (Ann Dowd) que la bande-annonce montre particulièrement exaltée, pour prendre le pouvoir. Egalement au Canada, Serena va soigner son image, alors que l’influence de Gilead commence à traverser les frontières.

Une dystopie qui prend de plus en plus des airs de réalité

The Handmaid’s Tale (La Servante Ecarlate, en français) décrit un monde où la plupart des femmes sont devenues stériles. Aux Etats-Unis, qui sont devenus une dictature religieuse et patriarcale, et rebaptisés « Gilead », les rares femmes fertiles sont réduites en esclavage et mises à la disposition des commandants militaires. L’héroïne de la série, June, est ainsi placée chez le commandant Fred Waterford et sa femme Serena.

La série est inspirée du livre du même nom, écrit par l’écrivaine canadienne Margaret Atwood en 1985. Avec la montée de l’extrémisme aux Etats-Unis, et notamment la récente décision de la Cour Suprême qui révoque le droit fédéral à l’avortement, la série dystopique prend de plus en plus des airs de future réalité.

Margaret Atwood a d’ailleurs posté une photo d’elle récemment où elle arborait un mug avec l’inscription suivante : « I told you so » (« je vous l’avais bien dit »).

Source: Lire L’Article Complet