Un new-yorkais détenant le record du monde du plus grand nombre d’insectes tatoués sur le corps surprend ses fans en déclarant qu’en fait, il n’aime pas du tout les insectes. Il en aurait même peur !

Michael Amoia, 47 ans, s’est confié au New York Post après avoir obtenu le record du monde du plus grand nombre d’insectes tatoués sur le corps. Il déclare : « Mes tatouages me rappellent mon enfance. J’avais plusieurs grandes peurs, et les insectes en faisaient partie ». L’homme, originaire du Queens, a été reconnu en octobre par le Guinness des records comme détenteur du record du plus grand nombre d’insectes tatoués sur le corps. Son record comprend 864 insectes au total, même s’il prétend en avoir en fait 889. C’est plus de deux fois le précédent record, détenu par l’anglais Baxter Milsom, qui lui n’avait pas moins de 402 insectes tatoués. Tout ça donne des frissons dans le dos… ou des fourmis ?

Amoia a attrapé le virus du tatouage à 21 ans, lorsqu’il s’est fait une fourmi sur l’avant-bras. Il déclare : « Le premier que j’ai fait était une fourmi rouge […] elle est tombée enceinte et c’est parti de là ». Depuis, Amoia s’est fait tatouer tout un tas d’autres insectes, arthropodes, araignées et autres êtres grouillants, rampants, ou arborant des dizaines de pattes. Son record enregistre entre autres deux mille-pattes géants : l’un de plus de 40 cm sur son torse, et un autre de plus d’un mètre lui traversant le dos. Son visage n’est pas épargné non plus, ce qui nous donne du fil à retordre. Où faut-il regarder ? Dans les yeux de l’homme, ou dans ceux… de tous ces insectes ?

Une drôle de manière de surpasser sa peur

Amoia continue : « Beaucoup de gens croient que j’adore les insectes – mais en fait, c’est le contraire […] j’en ai peur, je déteste les insectes ». Il avoue que ces tatouages sont un moyen pour lui de faire face à sa peur, afin de la surmonter : « On s’enfuit en courant devant le feu, ou on le traverse ? J’ai choisi de le traverser, au lieu de le fuir ». On pourrait penser que choisir de se couvrir d’insectes pourrait porter préjudice à sa réussite professionnelle, et pourtant le new-yorkais s’en sort bien. Producteur de musique depuis ses 22 ans, investisseur, chef d’entreprise, tout semble lui réussir ! Il prône le proverbe « l’habit ne fait pas le moine » avec brio, et espère être un modèle pour beaucoup.

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