Longuement interrogée par le magazine « Madame Figaro » à l’occasion de la parution de son dernier livre intitulé « Orahe – Vivre au rythme de son coeur », Estelle Lefébure distille ses confidences dans une interview croisée avec une de ses filles, Ilona Smet.

A 53 ans, Estelle Lefébure peut regarder avec satisfaction dans le rétroviseur de sa vie malgré quelques petits cailloux sur le chemin. Ainsi, au rayon des réussites, il y a sa belle carrière de mannequin, sa reconversion réussie en porte-parole du bien-être ainsi que ses trois enfants. Pour Madame Figaro, elle décrit son rôle de mère et les relations qu’elle entretient avec eux.

Alors qu’elle pose avec sa fille aînée Ilona Smet (24 ans, née de son union passée avec le chanteur David Hallyday) et répond à une interview croisée, Estelle Lefébure lève le voile sur leur complicité. « On a toujours été très proches. Et puis, à l’adolescence, ce moment qui peut être compliqué pour les parents et les enfants, on a réussi à ne jamais couper la communication. Et ce, même quand on était loin géographiquement et qu’Ilona habitait Los Angeles. Ma fille connaît tout de ma vie et je connais tout de la sienne. Pour autant, je ne suis pas une mère-copine, je n’aime pas ce terme !« , explique-t-elle au magazine.

Et l’ancien mannequin, également maman d’Emma Smet (22 ans) et Giuliano (9 ans, né de son histoire d’amour passée avec Pascal Ramette), d’ajouter : « Je reste dans mon rôle de parent, j’essaie de comprendre. Écouter est pour moi la chose essentielle. Je peux ne pas être d’accord sur certaines choses, mais ce n’est pas pour cela qu’il y aura une mésentente. Je suis la même avec mes trois enfants. Aujourd’hui, on habite dans deux pays différents, Ilona vit en Suisse. Mais, lorsque l’on se retrouve, c’est comme si on s’était quittées hier, on reprend tout de suite le fil de notre conversation.« 

Une belle relation que confirme Ilona, décrivant ainsi sa maman comme « très protectrice, sans pour autant être étouffante« . La jeune femme, égérie Mixa comme Estelle Lefébure, estime même que sa mère « a trouvé la bonne distance » et remercie ses parents d’avoir toujours été là comme des guides. Aujourd’hui, alors qu’elle dit vouloir « travailler dans l’art« , elle se sait chanceuse de ne pas avoir été empêchée par ses parents de choisir sa voie.

Les confidences d’Estelle Lefébure sont à retrouver dans les pages de Madame Figaro, dans les kiosques le 6 décembre 2019.

Thomas Montet

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