Une longue interview avec un dev de CD Projekt révèle toujours plus de détails sur Cyberbunk 2077 et sur son système de quêtes annexes. Spoiler : il va y en avoir un paquet.
Lire ce genre d’interview alors que Cyberpunk 2077 a été repoussé à septembre ressemble assez fort à de la torture : on crève d’envie de s’y mettre. En attendant, on a quelques infos supplémentaires à se mettre sous la dent. John Mamais, l’un des boss du studio polonais, est passé à table chez On MSFT pour parler du jeu et révéler quelques détails sur le gameplay. On apprend donc qu’en plus des quêtes principales et des quêtes annexes, qui auront été travaillées à fond niveau cinématiques et auront un impact sur le monde, un autre type de quête pullulera dans Night City : les Street Stories, au nombre de 75 environ.« Il y a aura plusieurs couches : une couche passive (comme les vendeurs) et puis les street stories. Il y en a à peu près 75. Et puis il y a aussi encore les activités mineures », explique le dev.
« Ces street stories sont comme des petites quêtes. Elles racontent une histoire mais ne rentrent pas non plus dans un gros storytelling avec des cinématiques avancées. Elles permettent d’explorer le monde et de faire monter votre perso de niveau. Chacune est unique », continue-t-il. Toutes ont donc été conçues par CD Projekt et ne seront pas de simples activités générées aléatoirement. John Mamais a aussi répondu à la question de la durée de vie du jeu. Réponse : « on n’est pas encore sûrs, il y a différents types de personnages jouables, le jeu n’est pas linéaire et il y a énormément de manière d’y jouer ». Par exemple, décider de le finir sans tuer personne « prendra beaucoup plus de temps » et sera plus difficile. Autant dire que débloquer 100% des succès de Cyberpunk risque de prendre un sacré paquet d’heures. Mortel.
Vous pouvez retrouver l’interview en entier ici (en anglais) mais l’édition est assez moyenne, alors on vous fait un petit résumé du reste des déclarations. En ce qui concerne le contenu post-release, John Mamais confirme que ses teams vont gérer le contenu comme ils l’avaient fait pour The Witcher 3 (deux grosse extensions), sans en dire plus. Ca devrait donc prendre la forme de grosses extensions, annoncées gratuites. Aucune sortie n’est prévue sur Switch car « le jeu pourrait être trop lourd, mais après tout nous avons réussi à le faire pour the Witcher 3 ». Côté VR, même chose : CD Projekt a fait des tests qui se sont révélés peu concluants. Reste la question du multijoueur, qui ne devrait pas sortir avant un bon bout de temps : « on en parlera d’ici un an ».
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