Petit du mouton, l’agneau est apprécié pour sa chair et sa peau encore tendres. Considéré comme une viande pure, l’agneau est traditionnellement consommé en période de fête tant chez les chrétiens et les juifs que chez les musulmans.
Comme toutes les viandes rouges, l’agneau est riche en protéines et regorge de nombreux vitamines et minéraux tels le zinc, le fer et le phosphore. De plus, sa concentration en acides gras saturés est un plus pour la santé de celui qui le consomme.
Il convient toutefois de cuire le morceau de viande choisi de manière adéquate afin de profiter au maximum de ses bienfaits. La viande d’agneau se consomme ni trop cuite, ni crue, l’idéal étant ce qu’on appelle la cuisson à point. Dans l’assiette, l’agneau doit présenter une teinte rosée. Il est également conseillé d’éviter les fritures ou les grillades en raison de la possibilité de formation de substances cancérigènes.
A ce sujet, il convient de rappeler que la viande rouge et le gras qui s’y trouve ont souvent été liés au cancer du sein, mais jusqu’ici, aucune étude sérieuse n’a pu le prouver.
On dit souvent « tout est bon dans le cochon ». Cet adage pourrait aussi s’appliquer à l’agneau puisque de nombreuses parties de son corps sont comestibles. On retiendra notamment le carré, un morceau qui s’accommode de plusieurs façons. Généralement, au restaurant, le carré est servi pour deux alors que la portion familiale est prélevée du carré couvert et peut convenir à quatre personnes.
On peut citer le carré d’agneau en croûte d’herbes, au pastis, mariné avec des légumes de saison, rôti avec des pamplemousses ou au miel. Bref, comme souvent en cuisine, seule l’imagination est un frein !
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