Interprète d’Emma dans Scènes de ménages sur M6, Anne-Elisabeth Blateau a été atteinte par le coronavirus, il y a quelques jours. Aujourd’hui, elle semble guérie.
Le coronavirus n’épargne personne et, ces derniers jours, c’est la comédienne Anne-Elisabeth Blateau qui a été atteinte par le Covid-19. Dans une interview accordée, ce vendredi 3 avril, à nos confrères de TV Mag, l’interprète d’Emma dans Scènes de ménages s’est confiée sur cette maladie dont elle espère sortir dans les prochaines heures. "Ça va mieux même si je tousse encore un peu et qu’il me reste quelques signes d’essoufflement. Ça fait une semaine donc je suis sur la fin", explique-t-elle.
Maman d’un petit garçon et en couple, Anne-Elisabeth Blateau a vécu un confinement très difficile, ces derniers jours : "Je me suis isolée dans une pièce. L’isolement était compliqué car pour bien faire, il faudrait avoir un petit studio indépendant, ce qu’on n’a pas. Néanmoins, je suis restée loin d’eux le plus possible". Soignée grâce à la simple prise de paracétamol, la comédienne ne sait pas comment elle a pu être infectée. "Je me suis confinée avant tout le monde. Le vendredi 13 mars, j’ai commencé à me dire que quelque chose allait nous tomber dessus, que c’était grave. Et je suis très légaliste, je ne sortais pas plus de 10 minutes par jour dans la cour de notre résidence", explique-t-elle.
Anne-Elisabeth Blateau se confie sur ses "conditions de travail particulières"
Anne-Elisabeth Blateau confie également qu’elle semble être la seule comédienne de Scènes de ménages à avoir été atteinte par le coronavirus. Il faut dire que les tournages de la mini-série quotidienne de M6 ont été interrompus très rapidement. "Emmanuel Macron a fait sa déclaration le lundi 16 mars et on devait tourner le jeudi suivant mais le tournage a été annulé", confie l’interprète d’Emma. Toutefois, tous les comédiens et comédiennes continuent à travailler en apprenant leurs textes qu’ils ont tous reçus par mail. Ils organisent même des lectures en visioconférence à plusieurs. "Forcément, ce sont conditions de travail particulières. Ce n’est pas terrifiant non plus mais on est tous un peu moins gais que d’habitude", indique Anne-Elisabeth Blateau.
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