Alors que l’invasion russe n’en finit pas en Ukraine, où la guerre dure depuis plus d’un mois, les projecteurs sont braqués sur Vladimir Poutine qui semble ne pas bouger. Physiquement non plus, le dirigeant russe ne bouge pas. À tel point que des rumeurs de chirurgie esthétique persistent. Un biographe croit savoir pourquoi il y aurait eu recours. Et c’est surprenant.

Il n’a pas fallu attendre la guerre en Ukraine qui dure depuis plus d’un mois pour que les médias s’interrogent sur le physique de Vladimir Poutine. Le 7 octobre prochain, celui que le président américain Joe Biden n’a pas hésité à qualifier de « boucher » et de « dictateur » ces dernières heures fêtera ses 70 ans. C’est presque incroyable à le regarder. Difficile à croire, et pourtant le président de la fédération russe a bien 69 ans. Alors, les rumeurs de chirurgie esthétique, démenties par l’entourage du principal intéressé, vont bon train depuis plusieurs années. En mai 2015, au détour d’un article au sujet de rumeurs du même registre sur sa compagne présumée Alina Kabaeva, le Daily Mail avait compilé celles concernant Vladimir Poutine.

Il y a plus de dix ans, en 2011, des chirurgiens plasticiens parlaient d’injection de Botox, d’un lifting, de remplisseurs de joues et d’une élimination des poches sous les yeux. Deux ans plus tard, en 2013, il était apparu très gonflé et sans rides. En avril 2015, rebelote. Il avait semblé plus jeune que les semaines précédentes. Deux mois plus tôt, la télévision allemande avait diffusé un documentaire intitulé Putin the Man, dans lequel le biographe, Ben Judah, avait donné son point de vue à ce sujet. « Poutine a peur de la décomposition physique, il a peur de vieillir », avait-il déclaré en février 2015.

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Un couple adepte du Botox ?

Et la différence d’âge entre le président russe et sa compagne présumée doit encore davantage accentuer cette crainte de vieillir. Car l’ancienne gymnaste dont il serait épris a quasiment la moitié de son âge et serait, elle aussi, tentée par le bistouri. Le 10 mai 2015, lors d’un événement de gymnastique où était apparue Alina Kabaeva, certains commentateurs avaient ainsi ironisé : « Je n’avais jamais pensé que le Botox pouvait être transmis sexuellement. » Selon le Daily Mail, celui qui a engagé son armée dans une guerre contre l’Ukraine prendrait régulièrement des bains chauds et froids après ses séances de gym pour tonifier son physique d’athlète. Une pratique beaucoup moins risquée.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

Crédits photos : Zuma Press/Bestimage

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