En voyage en Ukraine pour le premier anniversaire du conflit Russo-Ukrainien, Anne-Claire Coudray a dû se mettre à l’abri plus d’une fois.
Ce dimanche 12 février 2023, TF1 proposait une édition spéciale dans le 20H d’Anne-Claire Coudray. Pour cette page inédite consacrée au premier anniversaire de l’offensive de l’armée Russe en Ukraine, la journaliste « s’est rendue il y a quelques jours à Kiev, ainsi que dans les villes de Boutcha, Irpin et Borodyanka, est allée à la rencontre des résistants du quotidien : boulanger, bibliothécaire, historien », rapporte TF1 Info. Dans un extrait vidéo mis en ligne sur le compte Twitter officiel de la chaîne, l’acolyte de Jacques Legros se balade dans les rues de la capitale ukrainienne lorsqu’une alarme se fait entendre.
En panique, la plupart des habitants se ruent pour se mettre à l’abri. Au milieu d’un trottoir, Anne-Claire Coudray et son équipe ne tardent pas à être interpellés par un passant inquiet. « Il y a une alerte, vous devez vous cacher dans un abri », lance ce dernier. Un autre, de son côté, n’a pas l’intention de se cacher. « Je n’ai pas peur, si je dois mourir, je meurs », explique-t-il, le sourire aux lèvres.
Plus de 600 alertes en un an
« À Kiev, depuis 1 an, les alertes aériennes ont retenti plus de 660 fois. Deux par jour en moyenne », précise Anne-Claire Coudray en voix off. Dans les abris, « aucune panique, la procédure est rodée. Dans ce monde moderne, on peut même suivre le début et la fin des alertes à la minute près sur son téléphone« , ajoute-t-elle avant de demander à un Ukrainien si l’alerte va durer longtemps.
« Cela dépend. Si les Russes utilisent des missiles, ça peut être assez rapide. S’ils utilisent des drones, des attaques de drones, les fameux drones iraniens, ça peut prendre 3 heures pour tous les détruire », répond son interlocuteur. Une fois l’alerte terminée, « la vie reprend presque normalement… Jusqu’à la prochaine fois ».
V.B
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