Ce mardi 15 février, Xavier Bertrand était l’invité de la matinale de Sonia Mabrouk, au micro Europe 1. Piquant, l’ancien assureur et candidat a volé au secours de son alliée Valérie Pécresse. Au passage, le patron des Hauts-de-France n’a pas épargné « sa Majesté Emmanuel Macron »...

Tout pour la candidate LR… Ce mardi 15 février, Xavier Bertrand était l’invité de Sonia Mabrouk. Au micro d’Europe 1, l’ancien ministre s’est montré plus piquant que jamais avec ses adversaires. Fervent défenseur de Valérie Pécresse, son ancien rival n’a épargné personne sur son passage, pas même le président sortant qui se fait encore désirer : « Elle n’a pas commencé cette élection présidentielle. Elle ne commencera que quand Sa Majesté, Emmanuel Macron, viendra dans l’arène démocratique », a-t-il asséné, estimant qu’alors, les termes de la confrontation pourront entrer en jeu.

Alors, Xavier Bertrand estime que les Français pourront élire le dirigeant le plus « qualifié pour diriger le pays ». Et selon l’ancien assureur raillé par Nicolas Sakory, seule la compagne de Jérôme Pécresse en est capable : « Valérie a toutes les qualités pour diriger le pays, et c’est ça le plus important. La question du fond du projet, la personnalité et le tempérament, elle a tout pour diriger« , a-t-il assuré. Quoi qu’il en soit, le patron des Hauts-de-France est formel : le prochain quinquennat qui s’ouvre doit être celui des « classes moyennes« .

>> PHOTOS – Xavier Bertrand et Vanessa Williot : un couple fusionnel qui a trouvé son équilibre

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Xavier Bertrand et Valérie Pécresse réconciliés ?

« Entre eux, pas de cadavre dans le placard. Aucune guerre fratricide n’a entaché leurs relations. Tous deux partagent une fibre chiraquienne« , souligne L’Express. Preuve que Xavier Bertrand et Valérie Pécresse ont été concurrents autrefois, mais jamais ennemis. Mais depuis, l’ancien ministre de la Santé et la candidate LR se soutiennent mutuellement : « C’est celui dont je me sentais le plus proche« , aurait-elle confié à une élue LR. Toutefois, « Elle ne le nommera pas, ça serait créé un contre-pouvoir trop puissant », chuchote un proche.

Crédits photos : capture Europe 1

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