Pierre-Jean Chalençon est sous le choc. Samedi 9 novembre, l’historien Oleg Sokolov, avec qui il partage la même passion pour Napoléon, a été arrêté pour le meurtre de sa petite amie.

C’est une abominable découverte que la police russe a faite samedi 9 novembre. Connu à travers le monde entier pour ses travaux sur Napoléon Bonaparte, l’historien Oleg Sokolov a été repêché vivant dans la rivière Moïka, à Saint-Pétersbourg, avec un sac contenant les bras d’une femme. Selon la presse locale, l’homme de 63 ans qui assurait des cours à l’ISSEP, école privée fondée par Marion Maréchal-Le Pen, aurait reconnu avoir tué et démembré sa compagne, une étudiante de 24 ans, lors d’une dispute.

Placé en détention provisoire ce lundi 11 novembre, Oleg Sokolov a été démis de « sa fonction de membre du conseil scientifique » de l’ISSEP, comme l’a annoncé l’établissement dans un communiqué. « Étant professeur de la chaire d’Histoire moderne à l’Université de Saint-Pétersbourg, intervenu comme directeur d’études invité à l’École Pratique des Hautes Études à la Sorbonne, décoré de la légion d’honneur française, nous n’imaginions pas qu’il puisse commettre cet acte odieux », peut-on lire. Mais l’annonce de ce meurtre a également eu l’effet d’une onde de choc pour Pierre-Jean Chalençon.

Pierre-Jean Chalençon sous le choc

Ami d’Oleg Sokolov, avec qui il partage la même passion pour Napoléon Bonaparte, Pierre-Jean Chalençon a réagi à cette effroyable nouvelle sur son compte Twitter. « Oleg… Je suis effondré », a-t-il écrit avant d’en dire plus à l’antenne de Crimes et faits divers, ce mardi 12 novembre. « Oleg est un ami de trente ans, donc je le connais plus que bien. On est très très proches, a-t-il déclaré à Jean-Marc Morandini. Quand j’ai appris la nouvelle samedi, j’en ai même pleuré parce que j’ai trouvé ça terrible. Ça m’a bouleversé parce qu’Oleg est une personne très agréable. Jamais je n’aurais imaginé qu’il puisse être capable de faire ça. »

L’acheteur d’Affaire conclue est d’ailleurs persuadé que cette affaire n’est rien d’autre qu’« un accident ». « Oleg est toujours mon ami. Dès que j’aurai des nouvelles un peu plus sérieuses, j’essayerai de me rendre à son procès. Je ne comprends pas. Ce n’est pas possible qu’il ait fait ça ! »

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