Ce mardi 30 mars dans Les Z’amours, un candidat a raconté le jour où sa femme a pris le budget réservé à la chambre de leur premier enfant pour… aller s’acheter une paire de chaussures de luxe. Une anecdote qui a beaucoup amusé Bruno Guillon.
Bruno Guillon
Que Bruno Guillon en profite : son émission phare, Les Z’amours, s’arrête bientôt. En attendant le dernier numéro, l’animateur et son public peuvent encore profiter des anecdotes racontées par les candidats, qui ont tous des choses incroyables à partager. Ce mardi 30 mars, ils devaient répondre à une question qui appelait à l’évocation de souvenirs amers. « Votre femme, qu’a-t-elle fait que vous ne lui avez jamais complètement pardonné ? », leur a lancé Bruno Guillon. Cédric, père de deux enfants, avait une histoire à partager au sujet de son épouse Marion. Fashion victim, la jeune femme avait visiblement très envie de craquer pour une paire de chaussures de luxe, quitte à dépenser un argent commun qui était prévu pour la préparation d’un heureux événement. « Pour la naissance de notre première fille, on avait mis un budget de côté pour la chambre, a expliqué le papa. Et Marion a pris ce budget – qui est un budget important, on parle de 800 euros – pour s’acheter une paire de chaussures de marque. »
Bruno Guillon vanne une candidate des Z’amours
Amusé par l’histoire de Cédric, Bruno Guillon a ironisé : « Ça va, un bébé quand ça naît ça peut dormir dans une boîte à chaussures, quand même ! » Mais le candidat ne souriait pas. « Au début, je pensais que c’était une blague, a-t-il repris. Mais en fait, pas du tout. J’ai… pardonné, on va dire. Mais je l’ai toujours dans la tête. » A son retour sur le plateau, sa femme a été invitée à revenir sur cet épisode. « Marion. Est-ce qu’elle étaient jolies ces chaussures ? C’est ça la question », lui a lancé Bruno Guillon. « Bah… Les plus belles ! », a confirmé la jeune femme. « En mode semelles rouges et tout ça, celles-ci ? », a demandé l’animateur. Un large sourire aux lèvres, Marion a acquiescé.
Toujours ravie de son achat, la maman ne semblait pas avoir de regrets. Bruno Guillon s’est alors amusé à la titiller avec beaucoup d’ironie : « Alors franchement ça passe avant un enfant, quand même ! On ne va pas se mentir : ça passe quand même avant une chambre, s’est-il amusé. Un enfant, hop on le pose là dans un coin, et au moins on a des belles chaussures. On a besoin de garder cette touche de féminité après un accouchement. Ça, l’enfant il ne l’amène pas. Alors que la paire de chaussures oui, évidemment. Et vous étiez à deux doigts de la juger Cédric ! Je vous jure, vraiment… » Une bonne manière de dédramatiser les choses, Cédric n’ayant vraisemblablement toujours pas digéré cette affaire.
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