Ce mardi 21 décembre, Gabriel Attal a répondu aux questions de Caroline Roux sur France 2. Interrogé sur l’hypothèse d’un nouveau reconfinement à venir, le porte-parole du gouvernement a fait preuve de prudence à ce sujet, expliquant qu’il n’excluait aucun scénario.
Le gouvernement n’exclut pas de durcir le ton. C’est le message qu’a souhaité faire passer Gabriel Attal dans la matinale de France 2 ce mardi 21 décembre. Interrogé sur le réveillon de la Saint-Sylvestre par Caroline Roux, le porte-parole du gouvernement a déclaré : « On a déjà annoncé des mesures sur le 31 décembre (…) Si on constate qu’il y a une reprise très forte de l’épidémie liée au variant Omicron et un risque, évidemment que nous pourrions aller au-delà« , a-t-il prévenu. La journaliste de France 2 a ensuite tenté d’en savoir plus sur la situation dans les mois à venir et a questionné son invité au sujet d’un nouveau reconfinement dans le pays.
« Le scénario du reconfinement est exclu ?« , a-t-elle demandé à Gabriel Attal. Ce dernier a préféré jouer la carte de la prudence, en expliquant qu’il « n’excluait rien » : « Vous savez, Caroline Roux, je dis toujours que je n’exclus jamais rien par principe (…) On le voit, cette épidémie a encore plus d’un tour dans son sac, elle continue à surprendre le monde entier. Mais ce que je sais, c’est que quand on fait des efforts, qu’on est responsables, ça paie« , a affirmé le porte-parole du gouvernement, précisant qu’il n’y avait « pas de fatalité vis-à-vis de ce virus. »
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Qu’en est-il de la rentrée scolaire ?
Autre thème abordé durant cet entretien : la rentrée scolaire. Face à Caroline Roux, Gabriel Attal a expliqué que la prolongation des vacances scolaires n’était pas « l’hypothèse privilégiée » à ce jour, soulignant que le gouvernement ne l’envisageait qu’en « ultime recours« . « C’est très important que les enfants puissent continuer à aller à l’école. On a fait ce choix là, en France, depuis le début de l’épidémie. On ne le regrette pas quand on voit d’autres pays qui ont fait un choix différent, qui ont fermé leurs écoles quasiment tout le temps depuis deux ans, qui se retrouvent dans une situation sanitaire comparable à celle des autres, avec des enfants qui ont accumulé un retard énorme« , a observé le porte-parole du gouvernement.
Crédits photos : Capture d’écran France 2
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