Invité de C à vous sur France 5 ce vendredi 17 décembre, Michel Drucker est revenu sur le triple pontage qu’il a subi il y a plus d’un an. L’animateur de Vivement Dimanche est passé « très près » de la mort.

Après avoir fait son grand retour à la télévision dans Vivement Dimanche sur France 2 le 28 mars dernier, Michel Drucker fait son come-back sur scène. Celui qui fêtera ses 80 ans le 12 septembre prochain débutera la tournée de son one-man-show à Villepinte le 14 janvier. Dans son nouveau spectacle, il imagine face au public, avec humour, les unes de la presse qu’il y aura le jour de sa mort. « Tout le monde veut prendre sa retraite sauf moi. Je suis le sénior actif idéal pour Macron. J’ai fixé mon âge pivot à 90 ans », lance-t-il. Derrière la punchline, il y a le mordant d’un homme qui est passé « très près » de la mort comme il l’a confié à Anne-Élisabeth Lemoine sur France 5, dans C à vous, ce vendredi 17 décembre.

« Mon papa qui était un médecin de campagne qui aurait pu travailler jusqu’à 100 ans me disait : ‘il ne faut jamais s’arrêter’, voilà », a-t-il rappelé avant d’évoquer son long passage à l’hôpital. « Je pensais que je ne reviendrais jamais à la télé, vous le savez, j’étais vraiment une ombre », s’est-il souvenu avec émotion. « Et puis, je me suis dit : ‘il faut que je revienne à la télé’, et puis après j’ai dit : ’Mon deuxième challenge c’est de remonter sur scène’ », a confié celui qui avait subi une opération du cœur dans le plus grand secret en septembre 2020.

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Le retour d’un miraculé

« C’est peut-être pour ça que j’ai eu un triple pontage, j’ai eu un stress total. À 76 ans, commencer une carrière sur scène, faut quand même être un peu fêlé. Je pensais que ça ne marcherait pas, que les petits copains me tomberaient dessus, que la presse serait terrible et qu’il n’y aurait personne dans les salles. Et ça a été le contraire et j’y ai pris goût », a expliqué dans C à vous celui qui montera sur la scène du Petit Marigny. Il termine son spectacle en affirmant que « les plus belles années d’une vie sont celles qu’on n’a pas encore vécues ». « Il en reste encore une dizaine, une vingtaine, une trentaine », a conclu Anne-Élisabeth Lemoine.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

Crédits photos : Capture France 5

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