Ce lundi 15 mars dans Touche pas à mon poste, un débat houleux opposait les chroniqueurs de l’émission au sujet d’un sondage réalisé ce week-end par le JDD. Une séquence tendue à laquelle Nadège Beausson-Diagne, invitée, est intervenue pour calmer la situation.

A propos de

  1. Nadège Beausson-Diagne

Une fois de plus, les téléspectateurs de Touche pas à mon poste ont assisté à une séquence pour le moins inattendue. Ce lundi 15 mars, Nadège Beausson-Diagne s’est sentie obligée d’intervenir pour apaiser les tensions autour de la table des chroniqueurs et invités. « Excusez-moi, je voudrais juste vous dire qu’il y a des jeunes qui nous regardent. Vous ne pourriez pas vous écouter un petit peu ? Je suis désolée, mais c’est très important », a-t-elle déclaré à la suite d’un débat particulièrement houleux, opposant Yassine Bellatar et Guillaume Bigot. Les deux hommes ont été invités à donner leur avis sur un sondage réalisé ce week-end par le JDD. Ce dernier, jugé discriminatoire par certains, questionnait les internautes au sujet du racisme dans l’hexagone. « Pour chaque catégorie de personnes, trouvez-vous qu’elles sont trop nombreuses en France ? » questionnait le JDD. Les catégories de réponses, classées par origines, couleurs de peau ou encore religions, ont particulièrement divisé.

Rapidement, la confrontation entre Yassine Bellatar et Guillaume Bigot fait des étincelles. D’un côté, l’humoriste, considère cette enquête comme étant raciste. « C’est interdit en France de faire des statistiques ethniques », indique-t-il. De l’autre, le politologue, assure que « ça n’a pas de sens de trouver ce sondage raciste ». Guillaume Bigot déclare ensuite que Yassine Bellatar est un « bouffon du roi » parce qu’il a « servi Emmanuel Macron ».

Un débat qui divise

Les propos de Guillaume Bigot n’ont pas fait l’unanimité auprès des chroniqueurs. Surpris, Stéphane Tapie, fils de Bernard Tapie et chroniqueur de l’émission, assure qu’il ne peut pas y avoir débat car Yassine Belattar « se fait agresser ». Outre ces échanges explosifs, Isabelle Morini-Bosc et Gilles Verdez, ont assuré que ce sondage est plus « maladroit » que raciste. De son côté, Nicolas Pernikoff trouve que cette enquête est un « électrochoc extraordinaire ». Finalement, aucune des personnes présentes sur le plateau n’a su trouver un terrain d’entente…

Crédits photos : Capture d’écran C8

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