Secouée par les accusations visant son mari Jean-Jacques Bourdin, Anne Nivat n’a pu dissimuler son émotion sur le plateau de CNews. Invitée de Pascal Praud, ce mercredi 2 février, la journaliste dénonce : « Il y a beaucoup de haine contre lui ».
Une situation difficile à vivre. Bousculée de plein fouet par les accusations d’agressions sexuelles visant son époux Jean-Jacques Bourdin, Anne Nivat peine à sortir la tête de l’eau. Invitée de l’Heure des pros afin d’évoquer la sortie de son ouvrage ce mercredi 2 février, la célèbre journaliste reporter dont le mari a été écarté de l’antenne, n’a pu échapper à la question qui fâche : « Comment vivez-vous cette situation ? », l’a interrogé Pascal Praud. « Comment voulez-vous le vivre, à part le vivre mal ? Personne ne vivrait cette situation-là bien et moi je suis obligée d’être dans les médias aujourd’hui parce que j’ai ce livre », a-t-elle rétorqué.
Ébranlée par les événements, Anne Nivat ne parvient pas à dissimuler son émoi en plateau : « Vous entendez mon émotion…« , poursuit-elle les yeux embués. « Je ne sais pas si je continuerai à écrire des livres et à être dans les médias…Parce qu’il y a trop, justement là on peut parler de haine. Et ça, personne ne le mérite…personne ». Prise à partie, l’écrivaine dénonce la haine que reçoit son époux : « Je la sens aussi contre moi. J’ai été cité dans l’article du Parisien, qui est un torchon absolu ».
Anne Nivat blessée : « Ça détruit ma famille »
Le 15 janvier, Le Parisien a dévoilé la plainte d’une ancienne journaliste de RMC et BFMTV, prenant soin au passage d’évoquer au passage la famille de Jean-Jacques Bourdin. Un portrait « à charge » que la journaliste Anne Nivat étrille sans aucun remords sur le plateau de Cnews : « Ça détruit ma famille ce qui est en train de se passer« , souligne la journaliste.« Ce n’est pas le journalisme que j’aime, parler de moi, de mon fils et dire où nous habitons n’a rien à voir avec l’affaire juridique qui est en cours et justement comme il n’y a rien à dire de plus, certains journalistes vont jusque-là », a-t-elle fustigé. Blessée, la journaliste assure s’être entretenue avec la candidate Valérie Pécresse et réprouve « l’instrumentalisation immédiate, politique, et l’exercice de communication ».
Crédits photos : capture CNEWS
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