Il y a eu de la casse, ce mardi 18 mai, dans Affaire conclue ! Patricia Casini-Vitalis, commissaire-priseur de l’émission, a, à force de manipulations, casser une anse d’un objet…
Sophie Davant
Commissaire-priseur ou acheteur d’objets anciens peuvent être des métiers à risque. Il suffit de se retrouver avec un objet entre les mains, et de le casser, alors que celui-ci a une certaine valeur. Dans Affaire conclue, l’émission de France 2, la mésaventure s’est déjà produite. En janvier dernier, Gilles était venu pour proposer une statue. Alors qu’il a été félicité pour avoir réussi à ramener un tel objet dans un état aussi correct, c’était finalement au cours du passage dans l’émission que le doigt de la statue avait été cassé. L’homme, surpris de constater ce raté, n’avait pu cacher son amertume.
Ce mardi 18 mai, Marie-Claire, une ancienne architecte d’intérieur, et donc amoureuse des objets, est venue proposer un brûle-parfum originaire de Chine. Un joli objet que le commissaire-priseur Patricia Casini-Vitalis a expertisé avec attention. Sauf qu’à force de trop le toucher, et alors qu’elle voulait montrer comment pouvait fonctionner un brûle-parfum, elle a fini par faire tomber une anse. Catastrophe !
Une bonne excuse !
Patricia Casini-Vitalis, gênée par sa bévue, a préféré en rire, tandis que Sophie Davant s’est allègrement moquée de sa collègue. « Remarquez, comme ça, ça fait un nouveau trou pour évacuer le parfum », a ironisé l’animatrice, avant d’ajouter : « Ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas casser un objet ».
Heureusement, l’anse a pu être replacée rapidement, et Patricia Casini-Vitalis a vite trouvé une excuse pour se dédouaner : la restauration de l’objet en question aurait été mal faite. « La restauration et les soudures d’un bronze sont extrêmement difficiles », a-t-elle constaté. C’est d’ailleurs la restauration qui freinera, quelques minutes plus tard, les acheteurs, peu enclins à faire monter les enchères. Marie-Claire repartira finalement avec 100 euros.
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