Dans son troisième album, N’attendons pas, Vianney dévoilait une chanson émouvante sur sa famille recomposée. Beau-père d’une petite fille de neuf ans, l’artiste s’est confié sur son nouveau rôle à Paris Match.

J’avais pas prévu d’un jour adopter. Mon enfant, j’ai dû surtout m’adapter. Y’a pas que les gènes qui font les familles. Des humains qui s’aiment suffisent.” Dans son troisième album N’attendons pas, sorti fin octobre, Vianney se glisse dans la peau d’un Beau-papa. Un rôle qu’il endosse au quotidien, avec la fille de sa compagne, âgée de neuf ans. Celui qui partage la vie de Catherine Robert, sa violoncelliste, doit apprendre à vivre avec un enfant qui n’est pas le sien. Une étape à laquelle il n’était pas préparé, mais qui le comble de bonheur.

Dans un entretien accordé à Paris Match, paru en kiosque ce jeudi 19 novembre, le chanteur s’est confié sur cette vie de famille qu’il n’avait jamais imaginée. “On nous élève avec l’idée que les histoires d’amour existent et qu’elles peuvent rendre heureux. En revanche, vivre avec un enfant qui n’est pas le sien, on en parle moins”, a commencé le nouveau coach de The Voice, avant de préciser avoir été “bousculé comme jamais”. En couple depuis quatre ans avec la musicienne, l’interprète de Pas là s’est attaché à sa progéniture. Selon Vianney, “découvrir que l’on peut aimer un enfant qui n’est pas le sien au point d’y penser chaque jour, d’envisager son avenir, ce n’est pas rien.” Cependant, l’artiste lui fait la promesse de ne jamais dépasser les limites. Dans son morceau, il chante : “Non, je ne volerai jamais la place du premier qui t’a dit ’Je t’aime’.

“On est obligé d’en parler”

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Cet amour inattendu, mais sincère, Vianney pourrait le crier sur tous les toits. Invité dans l’émission C à vous, le 16 septembre dernier, le compagnon de Catherine Robert s’était déjà confié sur sa famille recomposée. “J’ai vraiment découvert qu’on pouvait développer énormément d’amour, plus que ce que j’imaginais, j’avoue, pour un enfant qui n’est pas le sien. Pas génétiquement le sien, a-t-il affirmé. Avoir un enfant qu’on se met à aimer, alors qu’on l’a pas engendré, c’est un truc qui, quand on fait des chansons, on est obligé d’en parler à un moment donné.”

Article réalisé avec l’agence de 6 Médias


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