Invitée dans l’émission En toute intimité, Véronique Genest s’est confiée sur l’enfance compliquée de son fills unique, Sam. Décryptage.

Beaucoup la connaissent dans la peau de Julie Lescaut. Avant d’incarner une femme de loi, Véronique Genest est une mère de famille. Une maman doublée d’une comédienne connue pour ses déclarations sulfureuses, ses coups de gueule légendaires et ses sorties choc dans les médias. Personne n’a ainsi oublié cette interview de 2012 sur le plateau de Laurent Ruquier où elle affirmait être "islamophobe ". Des propos sur lesquels elle est revenue le 7 juillet dernier  dans l’émission de Sam Zirah sur YouTube. "Je maintiens, car c’est le vrai champ sémantique du mot, on essaye de dire que l’islamophobie, c’est la détestation et la violence contre les musulmans. C’est du blasphème. Blasphémer, c’est mon sport favori, j’ai le droit. Les religions ne sont pas sacrées dans mon pays. Et j’ai le droit de dire que je n’aime pas la religion. Je déteste tous les dogmes imposés par les religions, qu’ils soient juifs, chrétiens ou musulmans… Je ne suis pas d’extrême droite ", a martelé l’ex-star de TF1.

Veronique Genest s’enflamme d’une toute autre manière quand elle évoque l’enfance de son fils Sam. "Je ne l’ai pas vu grandir. C’était hyper frustrant et hyper douloureux. Je partais à 6 heures du matin et rentrais à 21 heures Je ne voyais mon fils que le week-end, confie l’interprète de Julie Lescaut face à Sam Zirah. "On passait son temps à lui marcher dessus quand il était petit. Tu es dans la rue avec ton fils et tout d’un coup, tu as quelqu’un qui se met entre lui et toi, qui lui écrase les pieds pour demander un autographe, sans juger qu’il est là, juste pour te parler ". L’arrêt de Julie Lescaut en 2014 a très certainement permis à la comédienne de rattraper le temps perdu avec Sam.

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